Promettezvous de l'aimer et de le respecter? Promettez-vous d'être toujours honnête avec lui? Promettez-vous de rester à ses côtés, quel que soit le destin que l'avenir vous réserve? (Réponse : Oui, je le promets.) L'approbation de la famille et des amis . Dans un esprit de joie, je désire obtenir l'approbation de vos familles et amis: Lafoi dans la Loi merveilleuse nous garantit que, en surmontant de grandes souffrances et épreuves, nous pouvons établir un état de vie heureux et radieux. Le président Ikeda n’a de cesse de rappeler l’importance de mener une telle vie, empreinte d’un espoir infini et libre de toute entrave. Dans ce chapitre, nous étudierons la clé Lajoie est le meilleur antidote à la polarisation, à la fragmentation sociale, à la fermeture sur soi et son monde ! En 1969, le cardinal Ratzinger parlait de l’Église à venir dans une Bonanniversaire madame Papillon. J’apprécie toujours l’oeuvre que vous avez porté à terme il y a déjà dix ans. J’espère que vous allez poursuivre à nous apporter continuellement ces fragments de Lumière qui illuminent le site par cette connaissance qui nourrit mon coeur et me donne des ailes pour poursuivre mon chemin avec toutes les 55 Vivre avec joie, quelles que soient les circonstances. Dans cet extrait, le président Ikeda souligne le fait que vivre dans la joie est la marque d’un véritable pratiquant. Léon Tolstoï s’est exclamé : « Réjouissez-vous ! Réjouissez-vous ! L’art de la vie, sa raison d’être, est la joie. Réjouissez-vous du ciel, du soleil Quele bonheur d’aujourd’hui soit avec vous demain et pour toujours. Nous vous souhaitons de toujours vous aimer comme en cet instant. Notre joie vous accompagne. Quele bonheur soit toujours avec vous, qu'il guide vos pas, protège ceux que vous aimez et vous accompagne toujours sur la route de la vie. Citation d'internaute. Lume. Accueillante Scolaire, Travaux Manuels, Belgique, Gembloux, 1951 Vous aussi, créez votre propre citation ! Vous avez inventé une citation et souhaitez la publier sur le site ? Nous JYyFmE. Une célèbre cantate de a pour titre " Jésus que ma joie demeure ". La musique est aérienne et nous entraîne dans une légèreté dont Bach avait le secret. Mais ceci n’est qu’un moment d’envolée musicale. Mais dans le quotidien de nos vies, qu’en est-il ? Ce ne sont pas toujours des envolées et des chants de joie, car nous le savons bien nous traversons aussi des temps de peur, de crainte, de doute, de lassitude, de contrariétés, de larmes ...! Ce n’est pas toujours la joie, comme l’exprime un dicton familier. Quand le contexte familial, la santé, les finances, les études, les relations ne sont plus à même de nous procurer de la joie et du bonheur. Comment continuer à croire et espérer encore que la joie peut et doit demeurer en nous ? Cela doit être possible ! Sinon notre vie sur terre n’aurait pas sa raison d’être et perdrait son sens et sa vraie valeur. L’apôtre Paul nous encourage à être toujours joyeux ! Waouh ! Oups ! Jésus lui-même dans son message nous incite à rechercher la joie et à vivre heureux. Sa venue sur terre ,nous dit Luc, provoque de la joie " Car je vous annonce une bonne nouvelle, qui sera pour tout le peuple le sujet d’une grande joie ". Le passage de Matthieu 5, exprime une manière de vivre heureux et joyeux envers et contre tout. " Soyez dans la joie, soyez heureux, parce que Dieu vous prépare une grande récompense ! " Afin que la joie demeure, nous ne devons pas nous arrêter à la possession de biens matériels ou de circonstances favorables, ou d’appuis humains. La vraie joie n’est pas factice car elle prend sa source en Dieu lui-même. " La joie du Seigneur est notre force " s’écrie Néhémie. A nous de rechercher avec assiduité et persévérance à vivre avec un Dieu tel que le nôtre et à puiser en lui notre raison de vivre heureux. Oui, certes, nous avons besoin de passer des moments intenses de partage en famille et d’être ensemble dans l’unité et la bonne entente. Nous avons besoin d’avoir des amis, de contempler la nature, d’avoir des temps de repos et de détente, de recevoir des cadeaux. Tout cela il le faut, mais cela est passager et ne peut remplir entièrement un cœur. Tandis que la joie de Dieu demeure toujours pour celui ou celle qui l’accepte et qui s’appuie pleinement sur Lui. Jésus a dit aux siens et à ceux qui veulent l’entendre aujourd’hui encore " Je vous ai dit cela pour que vous ayez en vous ma joie soit complète " Jean 15/11 Oui que la joie, celle de Dieu vienne et demeure en toi maintenant. Et tu pourras dire avec le psalmiste " Quand j’ai la tête pleine de soucis, tu m’encourages, et mon cœur est tout joyeux. " Psaume 94/19 Accueil > Confiance en soi > Être en paix avec soi même la clé du bonheur et de l’épanouissement Bienvenue sur Penser et Agir ! Depuis 2012 nous accompagnons les actifs de plus de 30 ans qui veulent prendre leur revanche sur la vie en développant un projet qui a du SENS. Après avoir accompagné plus de 2 500 clients, nous lançons une formation continue gratuite par e-mail Le club des Actionneurs. Entrez votre prénom et votre email sur la page suivante pour y accéder Cliquez ici pour vous inscrire gratuitement déjà + de 17 000 inscrits ! C’est gratuit, et vous pourrez vous désinscrire à tout moment. Être en paix avec soi-même et s’accepter pleinement telle que l’on est avec bienveillance, amour et respect, plus facile à dire qu’à faire. Oui, on vous l’accorde, c’est un long chemin sinueux et parsemé d’embûches. Pour autant, l’acceptation de soi est une case à cocher si vous voulez accéder à une vie épanouie. Effectivement, être en paix avec soi-même, c’est la garantie d’être heur Le bonheur On entend par bonheur un état durable de complète plénitude, un état durable de complète satisfaction de nos désirs et de pleine réalisation de nos potentialités. Le bonheur, c'est l'harmonie avec soi-même et avec le monde. Le bonheur semble être le bien suprême auquel aspire l'ensemble des hommes, comme l'écrit Aristote dans l'Éthique à Nicomaque, le bonheur nous le cherchons toujours pour lui-même et jamais pour une autre raison, c'est ce qui parfois seul rend la vie souhaitable et complète ». Autrement dit, on ne désire pas le bonheur en vue d'autre chose mais l'on désire toute chose en vue du bonheur. Bref, tous les autres biens désirés, comme le confort par exemple, sont des moyens, et non une fin en soi comme le bonheur. Mais la définition du bonheur comme complète satisfaction n'est-elle pas une illusion profonde ? L'existence humaine peut-elle vraiment éviter l'expérience du malheur ? Et puis, nos désirs peuvent-ils vraiment être satisfaits tous ensemble puisqu'ils sont souvent contradictoires et inconciliables ? Et pire encore, souvent la satisfaction de l'un de nos désirs entraîne des conséquences néfastes et imprévisibles ; nous savons tous que les lendemains de fêtes peuvent être douloureux. Bref, il y a de nombreuses raisons de développer un certain pessimisme à l'égard de la possibilité même du bonheur. Au début du XIXe siècle le philosophe allemand Arthur Schopenhauer développera un tel pessimisme radical. Pour lui la vie, oscille comme un pendule de droite à gauche, de la souffrance à l'ennui. Alors faut-il verser dans un tel pessimisme ou peut-on développer un certain optimisme en construisant une sagesse définissant ce que serait un bonheur humainement possible ? Il est vrai que selon l'étymologie le bonheur est une sorte de hasard, une sorte de fatalité, bonheur signifiant le bon augure, la bonne rencontre, la bonne fortune ». Cependant, cela n'exclut pas de faire dépendre le bonheur non pas du hasard ou de la fatalité mais de la volonté et de la capacité de choix. C'est ce que proposent les sagesses antiques, plus précisément les philosophies eudémonistes, eudaimonia » signifiant en grec le bonheur ». Il y a dans l'antiquité deux grandes philosophies eudémonistes l'épicurisme et le stoïcisme. Leur point commun c'est qu'elles insistent toutes deux sur la nécessité d'une modération de nos désirs. Autrement dit, le bonheur consiste à bien savoir désirer et non pas à désirer n'importe quoi, n'importe comment. Plus précisément, les épicuriens préconisent de limiter nos efforts à la satisfaction des seuls désirs naturels et nécessaires parce que ce sont des désirs limités et dont la satisfaction est simple. Par exemple, le désir de manger est relativement simple à satisfaire ce qui est loin d'être le cas pour le désir de manger des plats raffinés et exotiques. Ce dernier désir étant un désir non naturel et non nécessaire. Autrement dit, chez Épicure c'est au nom même du plaisir qu'il faut nous interdire certains désirs. Ce qu'Épicure nous propose c'est bien un hédonisme puisqu'il fait du plaisir, en grec hedone », le but suprême de l'existence, mais ce n'est pas un hédonisme débridé puisque la réflexion rationnelle, la raison, vient limiter certains désirs. Quant aux Stoïciens, ils nous invitent à ne désirer que ce qui dépend de nous, et donc à renoncer aux désirs dont la satisfaction ne dépend pas de nous. Par exemple, ce qui doit rendre heureux l'archer, le tireur à l'arc, c'est de bien viser car cela est immédiatement en son pouvoir et non pas de voir la flèche atteindre le centre de la cible car cela ne dépend plus vraiment de l'archer. En effet, une fois que l'archer a décoché sa flèche, celle-ci peut être déviée du fait du vent mais alors cela ne dépend pas de l'archer et doit lui être indifférent. Au XVIIe siècle, dans leDiscours de la méthode, René Descartes retrouvera cette option stoïcienne dans la 3e maxime de sa morale provisoire. Ma 3e maxime — écrit en effet Descartes — était de tâcher toujours plutôt à me vaincre que la fortune et à changer mes désirs que l'ordre du monde et généralement de m'accoutumer à croire qu'il n'y a rien qui soit entièrement en notre pouvoir que nos pensées ; en sorte qu'après que nous avons fait de notre mieux, touchant les choses qui nous sont extérieures, tout ce qui manque de nous réussir est au regard de nous absolument impossible et ceci me semblait être suffisant pour m'empêcher de rien désirer à l'avenir que je n'acquisse, et ainsi — conclut Descartes — pour me rendre content », content c'est-à-dire dans la plénitude du bonheur. Les philosophes contemporains insisteront davantage sur la joie, la joie qui provient du plein déploiement de nos potentialités et de l'accroissement du sentiment de puissance par rapport à nous-mêmes. C'est en ce sens qu'Henri Bergson dans L'Énergie spirituelle oppose la joie au plaisir. Pour lui le plaisir n'est — écrit-il — qu'un artifice imaginé par la nature pour obtenir de l'être vivant la conservation de la vie ». Et en effet, cela explique bien le plaisir pris par l'être vivant à s'alimenter ou à copuler. Mais la joie pour Bergson donc c'est plus que le plaisir, la joie annonce toujours — écrit-il — que la vie a réussi, qu'elle a gagné du terrain, qu'elle a remporté une victoire, toute grande joie, conclut-il, à un accent triomphal ». C'est que, pour Bergson, partout où il y a joie il y a création et plus riche est la création plus profonde est la joie. Ainsi s'explique, selon Bergson, la joie de la mère qui regarde son enfant qui est sa création mais aussi la joie de l'artiste face à son œuvre. Voilà donc ici des formes de bonheur liées au plein développement des potentialités vitales et existentielles d'un être. Voilà pour le bonheur personnel, mais le bonheur est-il vraiment une affaire individuelle ? N'est-il pas aussi une affaire collective ? Le philosophe Alain, déjà au XXe siècle, nous rappelle dans l'un de ses propos que paradoxalement c'est un devoir aussi envers les autres que d'être heureux et en ce sens il n'y a nulle culpabilité à rechercher le bonheur personnel. Cependant il ne faut pas verser dans l'égoïsme et il faut aussi se soucier activement du bonheur des autres, ce qui fait du bonheur un enjeu politique. Ici les structures de solidarité collective, et principalement l'État, doivent intervenir pour corriger les inégalités sociales qui génèrent de nombreuses souffrances et qui font le malheur d'un grand nombre d'êtres humains. Examinons pour finir brièvement un sujet de baccalauréat Faut-il s'abstenir de penser pour être heureux ? ». Alors il faut d'abord reformuler la question pour s'assurer de l'avoir bien comprise. S'abstenir de penser afin d'être heureux, c'est présupposer que, n'étant pas heureux, il faut s'empêcher de s'en rendre compte. Autrement dit, notre condition est-elle si misérable qu'il faille surtout ne pas y penser et ne pas en avoir conscience ? Alors, quel est le problème ou le débat ? Eh bien, faut-il tendre à se nier comme esprit pensant pour réaliser notre bonheur ou faut-il, au contraire, s'affirmer comme esprit mais alors peut-être renoncer au bonheur ? Mais au fond, en quoi penser ferait-il vraiment obstacle au bonheur ? Et peut-on être vraiment heureux si l'on se nie soi-même en tant qu'être pensant ? Finalement, l'acte même de penser est-il vraiment contraire à la joie ? La pensée ne peut-elle pas procurer un profond bonheur ? Autres designs que vous aimeriez certainementpar CC_ChristianWoman5,53 $par carteQuantité Personnalisez ce modèleEnveloppesTailleType de papierMate 17,5 pt d'épaisseur / poids 325 g/m2 Finition blanche coquille d'œuf, sans revêtement OrientationAttributionEnlever le nom du Créateur/Zazzle+ 0,15 $ Dans cet extrait, le président Ikeda souligne le fait que vivre dans la joie est la marque d’un véritable Tolstoï s’est exclamé Réjouissez-vous ! Réjouissez-vous ! L’art de la vie, sa raison d’être, est la joie. Réjouissez-vous du ciel, du soleil, des étoiles, de l’herbe, des arbres, des animaux, des personnes1. » Réjouissez-vous ! » – telle a été l’ultime conclusion de la vie à laquelle est parvenu le grand écrivain et penseur russe. Vivre avec joie en dépit de tout est la marque d’un état de vie élevé, fort et heureux. À l’inverse, une vie qui accueille tout par la critique et la plainte est misérable, aussi belle qu’elle puisse paraître de l’extérieur. En 1901, l’Église russe orthodoxe excommunia Tolstoï. Il était âgé de soixante-douze ans à l’époque, un âge déjà avancé. L’Église pensait qu’une telle mesure punitive humilierait Tolstoï qui jouissait d’une vive admiration dans le monde entier. Mais les manigances des autorités ecclésiastiques ne le troublèrent pas le moins du monde. Il observa leurs actions avec une dignité sereine. Réjouissez-vous ! Réjouissez-vous ! » Sa conviction resta inébranlable. En fait, il brûlait d’un esprit combatif et passionné. La vie de Tolstoï n’a pas été dépourvue de troubles. Il a lutté par ses écrits. Il a aussi lutté contre la tristesse de sa vie familiale et contre la maladie. Mais son esprit cherchait toujours et partout à créer la est aussi la manière de vivre des bouddhistes. J’espère que vous mènerez tous des vies consacrées à la quête et à la création de la joie. Nichiren a déclaré Nam-myoho-renge-kyo est la plus grande de toutes les joies. » OTT, 212. Une vie consacrée à kosen rufu est une vie de joie suprême. Il a écrit aussi […] je ressens une joie sans mesure, malgré mon exil actuel. » Écrits, 390 *** Plus les autorités gouvernementales se déchaînent contre moi, plus grande est ma joie. » Écrits, 246 *** Plus les persécutions qui s’abattront sur lui [le pratiquant du Sûtra du Lotus] seront grandes, plus il ressentira de joie grâce à la force de sa foi. » Écrits, 33À l’époque de la persécution de Tatsunokuchi, Nichiren a dit à son fidèle disciple Shijo Kingo qui l’accompagnait N’y-a-t-il pas plutôt là une excellente raison de se réjouir ? » Écrits, 773. En somme, il lui dit Vous devriez sourire ! » Quand viendront les difficultés, dit Nichiren, les sages se réjouiront alors que les insensés battront en retraite ». Écrits, 642Plus nous avons de défis à relever, plus nous devrions aller de l’avant avec joie et plus nous devrions y faire face avec détermination – tels sont le cœur du bouddhisme de Nichiren et la manière la plus significative de mener notre vie. Une vie sans joie est malheureuse. Ceux que tout rebute, qui sont toujours négatifs, qui affichent une mine contrite et ne font que se plaindre et critiquer ne vivent pas comme Nichiren l’enseigne dans ses écrits. Ceux qui trouvent de la joie en toute chose, qui peuvent tout transformer en joie, sont de véritables experts en art de la Lettre de Sado, Nichiren écrit Les personnes de valeur et les sages sont mis à l’épreuve par les mauvais traitements. » Écrits, 306 Les personnes véritablement remarquables se distinguent par leur capacité à endurer les critiques et les calomnies, tout en menant sereinement une vie la joie en toute chose – quand vous rayonnez de joie, vous remontez le moral des personnes qui vous entourent, amenez le sourire sur les visages et créez des valeurs. Il est avant tout essentiel que les responsables ne cessent de réfléchir à la façon de permettre à chacun d’avancer avec d’un discours délivré à la réunion des représentants des responsables, à Tokyo, le 28 juin 1993

que la joie et le bonheur soit toujours avec vous