Leshommes ne seront jamais libre jusqu'Ă  ce que le dernier roi soit Ă©tranglĂ© avec les entrailles du dernier prĂȘtre. Je n'ai pas pu trouver la source originale. J'aimerais connaĂźtre le contexte de la citation et Ă  quel point il la pensait littĂ©ralement, Ă©tant donnĂ© la RĂ©volution française qui a suivi. Deux rĂ©ponses: fdb . 2016-01-26 05:58:00 UTC. view on stackexchange narkive DariaDouguina, fille d'un cĂ©lĂšbre "idĂ©ologue" proche de Vladimir Poutine, a Ă©tĂ© tuĂ©e dans un attentat alors qu'elle rentrait d'un festival, ce samedi 20 aoĂ»t. Les services de renseignement ShalomQue JĂ©sus-Christ nous aide Ă  prendre soin de nos Ăąmes. Amen!BĂ©nĂ©dictions, Extraitde “L'Ă©tat moral des hommes dans les derniers temps”, la partie 4 du plan “L'Ă©tat moral des hommes dans les derniers temps” : Le retour de JĂ©sus Enseignements bibliques Tout le Top La PensĂ©e du Jour TopBible TopMusic TopTV TopMessages TopFormations TopKids PassLeMot TopCartes Actus et À propos du Top LESDERNIERS SERONT LES PREMIERS "parole" de Saint-Mathieu. En ces pĂ©riodes de fĂȘtes de fin d'annĂ©e. J'ai une pensĂ©e pour les laisser pour compte, et j'espĂšre que cette parole sera suivi d'actions devant toute cette misĂšre, cette prĂ©caritĂ©, dont on ne soupçonne mĂȘme pas dans laquelle on peut "plonger" bien plus vite qu'on ne le pense ! OeuvreĂ©crite par la Divine Sagesse pour les Ă©lus des derniers temps Marie trĂšs sainte 13.12.11- Enfants du monde, prĂ©parez votre coeur Ă  la grande fĂȘte de NoĂ«l, pas seulement avec des dĂ©corations, pas avec des ornements extĂ©rieurs, mais surtout ornez-le Ă  l’intĂ©rieur et faites-le splendide pour accueillir JĂ©sus Qui vient avec Ses Dons merveilleux. Ă©gliseAB Lausanne ; Segond 1 TimothĂ©e 4 Mais l'Esprit dit expressĂ©ment que, dans les derniers temps, certains abandonneront la foi pour s'attacher Ă  des esprits trompeurs et Ă  des doctrines de dĂ©mons, car ils seront Ă©garĂ©s par l'hypocrisie de oE6EA. Partie 9 Comment nous savons que nous vivons “les derniers jours” 1, 2. Comment pouvons-​nous dĂ©terminer si nous vivons les derniers jours? COMMENT pouvons-​nous ĂȘtre sĂ»rs que nous vivons l’époque oĂč le Royaume de Dieu va entrer en action contre l’actuel systĂšme de domination humaine? Comment pouvons-​nous savoir que nous sommes trĂšs proches du temps oĂč Dieu va mettre fin Ă  toute forme de mĂ©chancetĂ© et de souffrance? 2 Ce sont lĂ  autant de choses que les disciples de JĂ©sus voulaient savoir. Ils lui ont demandĂ© quel serait “le signe” de sa prĂ©sence, lorsqu’il serait revĂȘtu du pouvoir du Royaume, et “de la conclusion du systĂšme de choses”. Matthieu 243. JĂ©sus a rĂ©pondu en Ă©numĂ©rant des Ă©vĂ©nements qui secoueraient le monde ainsi que diverses conditions qui, s’ajoutant les unes aux autres, montreraient que l’humanitĂ© est entrĂ©e dans le “temps de la fin”, “les derniers jours” de l’actuel systĂšme de choses Daniel 1140; 2 TimothĂ©e 31. Avons-​nous observĂ© au XXe siĂšcle ce signe composĂ©? Oui, nous l’avons vu, et mĂȘme amplement! Des guerres mondiales 3, 4. En quoi les guerres du XXe siĂšcle correspondent-​elles Ă  la prophĂ©tie de JĂ©sus? 3 JĂ©sus a prĂ©dit “Nation se dressera contre nation et royaume contre royaume.” Matthieu 247. En 1914, le monde s’est engagĂ© dans une guerre qui a mobilisĂ© les nations et les royaumes d’une maniĂšre diffĂ©rente de toutes les guerres prĂ©cĂ©dentes. La preuve en est que les historiens l’ont appelĂ©e Ă  l’époque la Grande Guerre. Elle a Ă©tĂ© la premiĂšre guerre de cette sorte dans l’Histoire, la premiĂšre guerre mondiale. Quelque 20 millions de soldats et de civils y ont perdu la vie, bien plus que durant n’importe quel conflit prĂ©cĂ©dent. 4 La PremiĂšre Guerre mondiale a marquĂ© le dĂ©but des derniers jours. JĂ©sus a dit que cela constituerait avec d’autres Ă©vĂ©nements “un commencement des affres de l’angoisse”. Matthieu 248. Il en a bien Ă©tĂ© ainsi, car la DeuxiĂšme Guerre mondiale a Ă©tĂ© encore plus meurtriĂšre, coĂ»tant la vie Ă  environ 50 millions de soldats et de civils. Au cours du XXe siĂšcle, largement plus de 100 millions de personnes ont Ă©tĂ© tuĂ©es lors de conflits, soit plus de quatre fois le nombre atteint au cours des 400 annĂ©es prĂ©cĂ©dentes! Quel tĂ©moignage accablant contre la domination humaine! D’autres preuves 5-7. Citez quelques preuves supplĂ©mentaires que nous vivons les derniers jours. 5 JĂ©sus a citĂ© d’autres caractĂ©ristiques qui accompagneraient les derniers jours “Il y aura de grands tremblements de terre et, dans un lieu aprĂšs l’autre, des pestes [Ă©pidĂ©mies] et des disettes.” Luc 2111. Cela dĂ©crit bien les Ă©vĂ©nements observĂ©s depuis 1914, car les afflictions dues Ă  ces calamitĂ©s se sont considĂ©rablement multipliĂ©es. 6 RĂ©guliĂšrement se produisent de grands tremblements de terre qui fauchent de nombreuses vies. À elle seule, la grippe espagnole a tuĂ© quelque 20 millions de personnes aprĂšs la PremiĂšre Guerre mondiale — certains penchent plutĂŽt pour 30 millions, sinon plus. Le SIDA a emportĂ© des centaines de milliers de gens, et des millions d’autres pourraient suivre dans un proche avenir. Chaque annĂ©e, des millions de personnes succombent Ă  des affections cardiaques, Ă  des cancers et Ă  d’autres maladies. Des millions d’autres meurent lentement de faim. Sans l’ombre d’un doute, les cavaliers de l’Apocalypse’ prĂ©lĂšvent, par leurs guerres, leurs famines et leurs Ă©pidĂ©mies, un lourd tribut dans les rangs de la famille humaine depuis 1914. — RĂ©vĂ©lation 63-8. 7 JĂ©sus annonça Ă©galement l’accroissement de la criminalitĂ© que l’on observe en tous pays par ces paroles “Parce que le mĂ©pris de la loi ira en augmentant, l’amour du grand nombre se refroidira.” — Matthieu 2412. 8. En quoi la prophĂ©tie de 2 TimothĂ©e chapitre 3 correspond-​elle Ă  notre Ă©poque? 8 De plus, les prophĂ©ties bibliques ont prĂ©dit l’effondrement moral aujourd’hui manifeste partout dans le monde “Dans les derniers jours des temps dĂ©cisifs et durs seront lĂ . Car les hommes seront amis d’eux-​mĂȘmes, amis de l’argent, prĂ©somptueux, hautains, blasphĂ©mateurs, dĂ©sobĂ©issants aux parents, ingrats, sans fidĂ©litĂ©, sans affection naturelle, intraitables, calomniateurs, sans maĂźtrise de soi, cruels, sans amour du bien, traĂźtres, entĂȘtĂ©s, gonflĂ©s d’orgueil, amis des plaisirs plutĂŽt qu’amis de Dieu, ayant une forme de piĂ©tĂ©, mais trahissant sa puissance. ... Les hommes mĂ©chants et les imposteurs progresseront toujours plus vers le pire.” 2 TimothĂ©e 31-13. Tout cela s’est rĂ©alisĂ© sous nos yeux. Un autre facteur 9. Que s’est-​il passĂ© au ciel au moment oĂč dĂ©butaient sur la terre les derniers jours? 9 Un autre facteur est responsable de la formidable ampleur qu’a prise la souffrance au XXe siĂšcle. En mĂȘme temps que dĂ©butaient les derniers jours en 1914, un Ă©vĂ©nement allait placer l’humanitĂ© devant un danger accru. À ce moment-​lĂ , selon les termes d’une prophĂ©tie contenue dans le dernier livre de la Bible, “une guerre a Ă©clatĂ© dans le ciel Michel [Christ dans sa puissance cĂ©leste] et ses anges ont luttĂ© contre le dragon [Satan], et le dragon et ses anges [les dĂ©mons] ont luttĂ©, mais il n’a pas Ă©tĂ© le plus fort, et il ne s’est plus trouvĂ© de place pour eux dans le ciel. Il a donc Ă©tĂ© prĂ©cipitĂ© le grand dragon, le serpent originel, celui qui est appelĂ© Diable et Satan, celui qui Ă©gare la terre habitĂ©e tout entiĂšre; il a Ă©tĂ© prĂ©cipitĂ© sur la terre, et ses anges ont Ă©tĂ© prĂ©cipitĂ©s avec lui”. — RĂ©vĂ©lation 127-9. 10, 11. Depuis que Satan et ses dĂ©mons ont Ă©tĂ© prĂ©cipitĂ©s sur la terre, quelles en sont les consĂ©quences pour l’humanitĂ©? 10 Quelles en ont Ă©tĂ© les consĂ©quences pour la famille humaine? La prophĂ©tie poursuit “Malheur Ă  la terre et Ă  la mer, car le Diable est descendu vers vous, ayant une grande colĂšre, sachant qu’il a une courte pĂ©riode de temps.” Oui, Satan sait que son systĂšme est sur le point de prendre fin; il fait donc tout son possible pour dresser les humains contre Dieu avant que lui-​mĂȘme et son monde ne soient mis hors d’état de nuire RĂ©vĂ©lation 1212; 201-3. Elles sont tombĂ©es bien bas, ces crĂ©atures spirituelles, pour avoir fait un mauvais usage de leur libre arbitre! Et quelles conditions affreuses rĂšgnent sur terre depuis qu’elle est sous leur influence, particuliĂšrement depuis 1914! 11 Il n’est pas Ă©tonnant que JĂ©sus ait annoncĂ© pour notre Ă©poque “Il y aura des spectacles terribles et, du ciel, de grands signes.” — Luc 2111. Fin prochaine de la domination des humains et des dĂ©mons 12. Quelle est l’une des derniĂšres prophĂ©ties qui doivent encore se rĂ©aliser avant la fin de ce systĂšme? 12 Combien de prophĂ©ties bibliques doivent encore s’accomplir avant que Dieu ne dĂ©truise le systĂšme actuel? TrĂšs peu! L’une des derniĂšres se trouve en 1 Thessaloniciens 53, oĂč on lit “Pendant qu’ils parlent de paix et de sĂ©curitĂ©, un dĂ©sastre s’abat tout Ă  coup sur eux.” The New English Bible. Cela montre que la fin de ce systĂšme commencera pendant qu’ils parleront’. ÉvĂ©nement imprĂ©vu pour le monde, la destruction frappera au moment oĂč l’on s’y attendra le moins, alors que les humains concentreront leur attention sur la paix et la sĂ©curitĂ© tant espĂ©rĂ©es. 13, 14. Quelle pĂ©riode de troubles JĂ©sus a-​t-​il prĂ©dite, et quelle en sera la conclusion? 13 Le temps se fait court pour le monde actuel placĂ© sous l’influence de Satan. Il va bientĂŽt prendre fin en une pĂ©riode de troubles dont JĂ©sus a dit “Il y aura alors une grande tribulation, telle qu’il n’en est pas survenu depuis le commencement du monde jusqu’à prĂ©sent, non, et qu’il n’en surviendra plus.” — Matthieu 2421. 14 Le point culminant de la “grande tribulation” sera HarmaguĂ©don, la guerre de Dieu. C’est le temps dont a parlĂ© le prophĂšte Daniel quand il a dit de Dieu qu’il â€œĂ©crasera tous ces royaumes et y mettra fin”. Cela signifiera la fin de toutes les dominations humaines actuelles, indĂ©pendantes de Dieu. La domination de son Royaume depuis les cieux s’exercera sur toutes les affaires humaines. Comme l’a annoncĂ© Daniel, le pouvoir ne sera jamais plus laissĂ© “à aucun autre peuple”. — Daniel 244; RĂ©vĂ©lation 1614-16. 15. Qu’adviendra-​t-​il de l’influence de Satan et de ses dĂ©mons? 15 De mĂȘme, en ce temps-​lĂ , toute influence satanique ou dĂ©moniaque cessera. Les crĂ©atures spirituelles rebelles seront mises hors d’état de nuire, de sorte qu’elles n’égareront plus les nations’. RĂ©vĂ©lation 129; 201-3. Elles ont Ă©tĂ© condamnĂ©es Ă  mort et attendent leur destruction. Quel soulagement ce sera pour l’humanitĂ© d’ĂȘtre libĂ©rĂ©e de leur influence avilissante! Qui survivra? Qui disparaĂźtra? 16-18. Qui survivra Ă  la fin de ce systĂšme, et qui disparaĂźtra? 16 Qui survivra lorsque les jugements de Dieu seront exĂ©cutĂ©s sur ce monde? Qui disparaĂźtra? La Bible montre que ceux qui souhaitent la domination de Dieu seront protĂ©gĂ©s et survivront. Ceux qui ne veulent pas de la domination de Dieu ne seront pas protĂ©gĂ©s, mais seront dĂ©truits en mĂȘme temps que le monde de Satan. 17 Proverbes 221, 22 dit “Car les hommes droits [ceux qui se soumettent Ă  la domination de Dieu] sont ceux qui rĂ©sideront sur la terre, et les irrĂ©prochables, ceux qui resteront sur elle. Pour ce qui est des mĂ©chants [ceux qui ne veulent pas se soumettre Ă  la domination de Dieu], ils seront retranchĂ©s de la terre; et quant aux traĂźtres, ils en seront arrachĂ©s.” 18 De mĂȘme, Psaume 3710, 11 dit “Un peu de temps encore, et le mĂ©chant ne sera plus .... Mais les humbles possĂ©deront la terre, et vraiment ils se dĂ©lecteront de l’abondance de la paix.” Le verset 29 ajoute “Les justes possĂ©deront la terre, et sur elle ils rĂ©sideront pour toujours.” 19. Quel conseil devrions-​nous prendre Ă  cƓur? 19 Nous devrions prendre Ă  cƓur le conseil de Psaume 3734, qui dĂ©clare “EspĂšre en JĂ©hovah et garde sa voie, et il t’élĂšvera pour prendre possession de la terre. Quand les mĂ©chants seront retranchĂ©s, tu le verras.” On lit aux versets 37 et 38 “Observe l’homme irrĂ©prochable et ne perds pas de vue l’homme droit, car l’avenir de cet homme sera pacifique. Mais les transgresseurs seront assurĂ©ment anĂ©antis ensemble, l’avenir des mĂ©chants sera bel et bien retranchĂ©.” 20. Pourquoi peut-​on dire que nous vivons une Ă©poque exaltante? 20 Qu’il est rĂ©confortant, oui, qu’il est stimulant de savoir que Dieu se soucie vraiment de nous et que prochainement il mettra fin Ă  toute mĂ©chancetĂ© et Ă  toute souffrance! Qu’il est exaltant de comprendre que ces prophĂ©ties glorieuses se rĂ©aliseront dans peu de temps! [Illustrations, page 20] La Bible a annoncĂ© les Ă©vĂ©nements qui constitueraient “le signe” des derniers jours. [Illustration, page 22] Sous peu, Ă  HarmaguĂ©don, ceux qui ne se soumettent pas Ă  la domination de Dieu seront retranchĂ©s. Ceux qui s’y soumettent survivront et entreront dans un monde nouveau et juste. Error 403 Guru Meditation XID 34838993 Varnish cache server La Descente aux Enfers Fresque byzantine Thessalonique par PĂšre Placide Deseille LE BUT DE LA CRÉATION Le chrĂ©tien est un homme qui attend. Le Seigneur nous dit dans l’Évangile " Que vos reins soient ceints et vos lampes allumĂ©es ; soyez semblables Ă  des gens qui attendent leur maĂźtre Ă  son retour des noces pour lui ouvrir dĂšs qu’il viendra et frappera " Lc 12,35-36. Peu de textes nous rĂ©vĂšlent aussi parfaitement quels doivent ĂȘtre le sens et l’orientation profonde de la vie chrĂ©tienne. Le but de la crĂ©ation est la dĂ©ification de l’homme et de l’univers. Toute l’économie du salut, l’Ɠuvre rĂ©demptrice du Christ, l’action sanctificatrice du Saint Esprit, ont pour but de ramener l’humanitĂ© dĂ©chue Ă  la fin pour laquelle elle avait Ă©tĂ© créée, vers la plĂ©nitude de la dĂ©ification. Or c’est par le retour du Christ, que nous attendons, que se rĂ©alisera l’accomplissement suprĂȘme de ce dessein de Dieu, que cette Ă©conomie du salut atteindra son accomplissement ultime. Si nous voulons retrouver un christianisme vivant, qui soit pour nous une source perpĂ©tuelle de joie et d’élan spirituel, il faut que nous replacions au cƓur de notre vie chrĂ©tienne le dĂ©sir impatient et la certitude du retour glorieux du Seigneur, ce dĂ©sir et cette certitude qui animaient les premiĂšres gĂ©nĂ©rations chrĂ©tiennes. L’Esprit et l’Épouse disent " Viens ! " Que celui qui entend dise " Viens ! " Que celui qui a soif vienne et que celui qui le dĂ©sire prenne de l’eau de la vie, gratuitement Ap 22,17. L’essentiel du message chrĂ©tien, la " bonne nouvelle " du salut, est l’annonce de la rĂ©surrection, de l’irruption de la vie nouvelle et immortelle dans notre monde vouĂ© Ă  la souffrance et Ă  la mort, du fait du pĂ©chĂ© de l’homme. Cette irruption de la vie vĂ©ritable s’est rĂ©alisĂ©e, fondamentalement, dans la rĂ©surrection du Christ, dans son passage pascal de la mort Ă  la vie. DĂ©jĂ  la mort est vaincue, dĂ©jĂ  la vie a triomphĂ©. Mais il faut que chacun de nous, tout au long de sa vie, et 1’Église tout au long de son histoire, fasse sien ce passage, qu’il le revive avec le Christ – ou plutĂŽt que le Christ le revive en lui – en apportant le consentement de sa libertĂ© Ă  l’Ɠuvre de la grĂące divine. La Parousie du Christ, son avĂšnement glorieux Ă  la fin des temps, manifestera tout ce qui Ă©tait virtuellement contenu dans la rĂ©surrection du Christ au jour de PĂąques, en faisant participer tout son Corps, qui est l’Église, Ă  son triomphe dĂ©finitif sur le pĂ©chĂ©, la souffrance et la mort. Telles sont l’espĂ©rance de l’Église et sa certitude fondamentale. L’ATTENTE DES DÉFUNTS Sur ce point, la pensĂ©e des PĂšres de l’Église diffĂ©rait de ce qui est devenu la position commune dans le christianisme occidental depuis le Moyen Age. À cette Ă©poque en effet, l’accent se dĂ©place sur les fins derniĂšres de l’individu ; on considĂšre que le sort Ă©ternel de chacun est dĂ©finitivement fixĂ© au moment de la mort les saints vont directement au ciel, les pĂ©cheurs non repentis vont en enfer, et ceux qui ont encore quelque peine Ă  expier vont au purgatoire pour un temps plus ou moins long, mais leur salut final est assurĂ©. La rĂ©surrection finale n’apportera qu’un complĂ©ment accidentel Ă  la bĂ©atitude dĂ©jĂ  plĂ©niĂšre des Ă©lus, ou au chĂątiment des damnĂ©s. Le jugement dernier ne fera que manifester la sentence dĂ©jĂ  dĂ©finitive portĂ©e lors du " jugement particulier ", au moment de la mort. DĂšs lors, l’importance accordĂ©e Ă  la Parousie comme terme de l’histoire, la tension eschatologique dans la vie du chrĂ©tien comme dans la vie de 1’Église, est singuliĂšrement amenuisĂ©e. Selon les PĂšres de 1’Église, ce n’est qu’à la Parousie que les hommes entreront dans leur destinĂ©e dĂ©finitive, et le sort final de beaucoup ne sera fixĂ© que lors du jugement dernier. Jusqu’à la rĂ©surrection, les saints eux-mĂȘmes, bien qu’ils soient auprĂšs du Christ, sont dans un Ă©tat d’attente. La maniĂšre dont l’Église ancienne concevait la situation de diverses catĂ©gories de dĂ©funts dans l’attente de la Parousie pourrait se rĂ©sumer ainsi tout d’abord, la pensĂ©e chrĂ©tienne est absolument unanime pour affirmer que notre existence terrestre est unique. La foi chrĂ©tienne est inconciliable avec toute idĂ©e de vies successives et de rĂ©incarnation. Ce sont des conceptions qui se retrouvent souvent dans des courants philosophiques ou religieux non-chrĂ©tiens, surtout d’origine extrĂȘme-orientale, mais elles sont absolument Ă©trangĂšres au christianisme. C’est une donnĂ©e fondamentale de la foi chrĂ©tienne que la vie terrestre est unique, et que le destin Ă©ternel de l’homme se joue durant cette unique existence terrestre. AprĂšs la mort, l’ñme reste aussi vivante, aussi consciente, aussi active que pendant la vie terrestre, quoique d’une autre maniĂšre. Mais elle ne peut plus rien pour son propre salut. Elle ne peut pas non plus entrer en communication avec les vivants, sauf permission divine, et toutes les formes d’évocation magique des dĂ©funts, de communication mĂ©diumnique avec eux et de spiritisme ont toujours Ă©tĂ© condamnĂ©es aussi bien par la Parole de Dieu dans l’Ancien Testament que par la conscience chrĂ©tienne Ă  travers les siĂšcles Qu’on ne trouve chez toi personne qui s’adonne Ă  la divination et Ă  la magie..., qui ait recours aux charmes, qui consulte les Ă©vocateurs et les devins et qui interroge les morts. Car tout homme qui fait ces choses est en abomination au Seigneur Dt 18,10. Dans la tradition orthodoxe, qui se fonde sur les visions dont certains saints ont Ă©tĂ© favorisĂ©s, on estime que durant les deux premiers jours aprĂšs la mort, l’ñme reste encore sur terre, parcourant les lieux oĂč elle a vĂ©cu et auxquels elle a Ă©tĂ© attachĂ©e durant sa vie terrestre. À partir du troisiĂšme jour, elle passe par ce que les PĂšres de l’Église appellent les " postes de pĂ©age ". Ces "pĂ©ages" sont reprĂ©sentĂ©s de la maniĂšre suivante dans des visions de saint Antoine le Grand que nous raconte saint Athanase Un jour, sur le point de manger, Ă©tant debout pour prier vers la neuviĂšme heure, il se vit lui-mĂȘme ravi en esprit. Chose Ă©tonnante, debout, il se vit lui-mĂȘme hors de lui-mĂȘme comme conduit Ă  travers les airs par certains personnages ; ensuite il en vit d’autres, amers et cruels, debout dans l’air et voulant l’empĂȘcher de monter. Ses conducteurs le dĂ©fendant, les autres demandĂšrent s’il leur Ă©tait soumis et voulurent lui faire rendre des comptes depuis sa naissance. Les guides d’Antoine s’y opposĂšrent, disant aux adversaires Le Seigneur a remis les fautes commises depuis sa naissance ; vous pouvez lui demander compte de celles qu’il a commises depuis qu’il s’est fait moine et consacrĂ© au Seigneur. Les adversaires l’accusaient, sans pouvoir rien prouver La route fut libre et sans obstacles. Alors Antoine se vit revenir ; debout devant soi, et de nouveau il fut lui-mĂȘme. Oubliant son repas, il passa le reste du jour et la nuit dans les gĂ©missements et la priĂšre. Il admirait par quelle lutte et quels labeurs il faut traverser les airs et il se souvenait de ce que dit l’ApĂŽtre du prince de la puissance de l’air Ép 2,2. L’ennemi a pouvoir de combattre et d’empĂȘcher ceux qui montent Ă  travers les airs. Il faisait donc surtout cette exhortation " C’est pourquoi prenez l’armure de Dieu, afin de pouvoir rĂ©sister aux jours mauvais en sorte que l’adversaire soit dans la confusion n’ayant aucun mal Ă  dire de nous " 2 Co 12,2. Plus tard, il eut une controverse avec quelques visiteurs concernant le passage et le sĂ©jour de l’ñme aprĂšs la mort ; la nuit suivante, quelqu’un l’appela d’en haut " Antoine, lĂšve-toi et regarde. " Il sortit, car il savait Ă  qui il convenait d’obĂ©ir ; levant les yeux, il vit un ĂȘtre gĂ©ant, affreux, redoutable, debout et atteignant les nuĂ©es. Des ĂȘtres paraissant ailĂ©s montaient. Le gĂ©ant Ă©tendait les mains, empĂȘchait les uns ; les autres, volant au-dessus, traversaient, Ă©taient conduits en haut sans ĂȘtre inquiĂ©tĂ©s. Pour ces derniers, le grand grinçait les dents ; il se rĂ©jouissait de voir tomber les autres. AussitĂŽt Antoine perçut une voix " Comprends ce que tu vois. " L’esprit lui fut ouvert il comprit que c’était le passage des Ăąmes, que le gĂ©ant debout Ă©tait l’ennemi qui porte envie aux fidĂšles, rĂšgne sur ceux qui se sont soumis Ă  lui et les empĂȘche de passer ; mais ne peut dominer d’en haut ceux qui ne se sont pas laissĂ© persuader par lui. Averti par cette nouvelle vision, il luttait de plus en plus pour progresser chaque jour 1. Ainsi, pendant les quarante jours qui prĂ©cĂšdent l’attribution Ă  l’ñme du dĂ©funt de ce qui sera son sĂ©jour provisoire jusqu’à la Parousie, les dĂ©mons prĂ©sentent tout ce qu’elle a pu commettre comme fautes durant sa vie terrestre ; son seul recours est alors le repentir qu’elle a manifestĂ© pour les pĂ©chĂ©s qui lui sont reprochĂ©s, les bonnes Ɠuvres qu’elle a accomplies durant sa vie terrestre et l’intercession de l’Église et des saints. La priĂšre pour les dĂ©funts revĂȘt ainsi, dĂšs le moment de leur mort, une grande importance ; elle protĂšge l’ñme et la dĂ©fend contre les entreprises des dĂ©mons. LE LIEU DE RAFRAÎCHISSEMENT ET DE REPOS Si l’ñme traverse victorieusement ces postes de pĂ©age, si les dĂ©mons ne trouvent en elle rien qu’ils puissent revendiquer, elle est alors introduite par les anges dans le paradis ou le sein d’Abraham, dans ce " lieu de lumiĂšre, de rafraĂźchissement et de repos, oĂč il n’y a ni douleur, ni larmes ", mais oĂč l’ñme, au contraire, jouit en compagnie des saints d’un bonheur ineffable. Dans un trĂšs bel article qu’elle avait consacrĂ© Ă  " La bĂ©atitude dans l’Orient chrĂ©tien " 2, Myrrha Lot-Borodine rĂ©sumait ainsi l’enseignement de la tradition patristique sur ce sĂ©jour des bienheureux Requies aeterna requies beata [repos Ă©ternel repos des bienheureux]. Expression consacrĂ©e par l’Église, prĂ©sentĂ©e comme le vƓu suprĂȘme aux endormis dans le Seigneur, Ă  ces destinĂ©es posthumes qui n’ont plus de forme Ă  nos yeux. Expression que l’on doit entendre d’abord au sens d’une cessation de toute activitĂ© externe in absolutione corporis [dans la dĂ©livrance du corps]. L’image trop familiĂšre du sommeil, si proche – en apparence – de la mort, peut prĂȘter Ă  confusion et trahir une rĂ©alitĂ© autrement singuliĂšre et profonde. On devrait y reconnaĂźtre plutĂŽt cet Ă©tat de calme mental, appelĂ© par les Grecs apatheia, ou " impassibilitĂ© parfaite ", imitant la divine. D’aprĂšs saint Maxime qui reprend, en le rectifiant, l’idĂ©al des Alexandrins, c’est lĂ  une absence totale de trouble, de cogitation, une stabilitĂ© permanente de l’esprit n’aspirant plus au changement. Une tranquillitĂ© sereine, la magna tranquillitas saint Ambroise rĂ©gissant l’ĂȘtre simplifiĂ© rĂ©duit Ă  son essence mĂȘme, avec la suspension ou l’assoupissement des puissances. Oasis de la Paix, au-dessus de toute paix, celle que le monde ne donne pas, dĂ©tente et repos au pays de la Consolation Gloriosa requies futura [le glorieux repos Ă  venir] saint Ambroise. VoilĂ  le beatum esse [l'existence bienheureuse] de la premiĂšre rĂ©surrection. Ce repos inaltĂ©rable, qui n’exclut ni la conscience ni la vie intĂ©rieure, immanente Ă  ce nouveau mode existentiel, est un Ă©tat Ă©minemment contemplatif dont le cƓur reste le symbole. L’Écriture l’assimile au repos divin de la GenĂšse. Sur son modĂšle, en effet, le CrĂ©ateur institua jadis le sabbat d’IsraĂ«l, prototype du sabbatisme paradisiaque. L’auteur de l’ÉpĂźtre aux HĂ©breux, en reprenant l’antique menace du Seigneur courroucĂ© contre la race infidĂšle " Ils n’entreront pas dans mon repos " Ps 94,11, ajoute aussitĂŽt " Il y a donc un repos du sabbat rĂ©servĂ© au peuple de Dieu. Car celui qui entre dans le repos de Dieu se repose de ses Ɠuvres, comme Dieu s’est reposĂ© des siennes " He 14,19. Comparaison illuminatrice, que l’on retrouve dans l’admirable office orthodoxe du Samedi de la Passion, ce " sabbat des sabbats " oĂč le Christ au SĂ©pulcre entra dans le repos bĂ©ni du triduum, ayant achevĂ© son Ɠuvre salvifique. Et voici la haute parole ultime de 1’Apocalypse " Oui, dit l’Esprit, qu’ils les saints se reposent maintenant, car leurs Ɠuvres les suivent " Ap 14,13. Parole qui signifie la fin de tout travail, en tant que peine ou servitude. Et ailleurs, le lin pur dont sera revĂȘtue toute l’Église triomphante, ce sont les Ɠuvres mĂȘmes des Saints Ap 19,8. Pareilles aux lys Ă©vangĂ©liques, qui ne tissent ni ne filent, les Ăąmes quiescentes s’épanouissent, embaumĂ©es super omnia aromata [au-dessus de tout parfum] par leurs vertus. Elles s’épanouissent dans la libertas paradisi [libertĂ© du paradis] en l’union au Christ qui les porte en Lui. C’est l’harmonie bienheureuse, l’accord de rĂ©solution, le non turban de la requies aeterna [l'imperturbabilitĂ© du repos Ă©ternel], ce dernier qualificatif impliquant une autre optique du temps, incompatible avec la nĂŽtre la durĂ©e sans durĂ©e ou sans succession d’états. QuiĂ©tude qui prĂ©suppose le non posse peccare [l'incapacitĂ© de pĂ©cher] de la perfection, enfin atteinte avec la similitudo [la ressemblance Ă  Dieu]. Perfection du vouloir et du pouvoir, infiniment supĂ©rieure Ă  celle des ancĂȘtres, encore en devenir. Et avec elle, ce sera l’offrande totale de l’imperturbatus amor [l'amour sans faille], l’agapĂ© divine et la joie perdurable du vacare Deo [Nom de Dieu] que seuls connaissent et goĂ»tent pleinement ceux qui, ayant mĂ»ri et portĂ© leur fruit terrestre, s’infusent au silence des dons cĂ©lestes. Telle l’épouse du Cantique, l’ñme quiescente fait entendre l’aveu secret de sa vigile Ego dormio sed cor meum vigilat [Je dors mais mon coeur veille - Ct 5,2]. Sommeil mystique de la micra anastasis [la " petite " ou premiĂšre rĂ©surrection] 3. Entre les saints et le monde des vivants, aucune communication " naturelle " ou de type spirite ne peut ĂȘtre lĂ©gitimement Ă©tablie cf. supra. Mais entre les Ă©lus et l’Église terrestre, un autre mode de communication, purement spirituel, mais non moins rĂ©el, existe. Dans la priĂšre, nous pouvons nous adresser Ă  eux ; ils peuvent nous assister constamment. Entre la liturgie cĂ©leste qu’ils cĂ©lĂšbrent avec les anges et nos liturgies terrestres, il existe une mystĂ©rieuse compĂ©nĂ©tration qu’évoquent les mosaĂŻques et les fresques de nos Ă©glises. Mais quel que soit le bonheur dont jouissent ainsi les saints, ils sont encore sous le signe de l’attente. Leur bĂ©atitude ne sera parfaite qu’au jour du retour du Christ et de la rĂ©surrection finale. L’HADÈS Quant aux pĂ©cheurs qui n’ont pu franchir victorieusement l’épreuve des " postes de pĂ©age " parce que leur repentir n’avait pas Ă©tĂ© suffisant et leurs bonnes Ɠuvres trop rares, il vont dans un lieu de souffrance oĂč ils sont tourmentĂ©s par les dĂ©mons. Mais ici encore, la vision des PĂšres de l’Église diffĂšre de celle qui a prĂ©valu en Occident au Moyen Âge. En premier lieu, cette souffrance n’a pas un caractĂšre d’expiation et de " satisfaction " pĂ©nale temporaire. Le dĂ©funt ne peut plus rien pour lui-mĂȘme, et sa souffrance ne peut en aucune maniĂšre contribuer Ă  sa dĂ©livrance. Il n’est pas condamnĂ© Ă  une peine plus ou moins longue, Ă  l’issue de laquelle il serait infailliblement sauvĂ©. Il n’est pas " au purgatoire ", mais dans l’HadĂšs, aux enfers, et son tourment, par lui-mĂȘme, ne peut avoir de fin. Mais en second lieu, cette souffrance n’a pas nĂ©cessairement un caractĂšre dĂ©finitif. La pensĂ©e commune de l’Église ancienne est en effet qu’avant le jugement dernier, les damnĂ©s peuvent ĂȘtre sauvĂ©s, mais cela, uniquement grĂące Ă  la priĂšre des membres de l’Église terrestre. C’est pourquoi la priĂšre pour les dĂ©funts revĂȘt, dans la conscience de l’Église ancienne et de l’Église orthodoxe d’aujourd’hui, une extrĂȘme importance il ne s’agit pas seulement en effet de prier pour que leur " temps de purgatoire " soit abrĂ©gĂ©, mais pour qu’ils soient dĂ©livrĂ©s de l’enfer Ă©ternel. Toutes les liturgies anciennes de l’Église l’attestent, y compris la liturgie romaine telle qu’elle a Ă©tĂ© en vigueur jusqu’à une date rĂ©cente jamais, dans sa priĂšre pour les dĂ©funts, l’Église n’a demandĂ© la " dĂ©livrance des Ăąmes du purgatoire " ; toutes les formules liturgiques demandent Ă  Dieu d’ĂȘtre misĂ©ricordieux dans son jugement et de dĂ©livrer le dĂ©funt de la mort Ă©ternelle. L’Église prie d’une part pour que les dĂ©funts soient protĂ©gĂ©s par la misĂ©ricorde divine lors de leur passage Ă  travers les " postes de pĂ©age " et parviennent au paradis, et d’autre part, s’ils sont dĂ©jĂ  condamnĂ©s, pour que Dieu les sauve dans sa misĂ©ricorde. LE RETOUR DU CHRIST À LA FIN DES TEMPS L’objet de l’attente ardente de l’Église, des vivants et des dĂ©funts qui sont aussi des vivants est le retour du Christ. La fin des temps ne doit pas ĂȘtre conçue par le chrĂ©tien comme une catastrophe Ă  redouter, mais comme la victoire dĂ©finitive du bien sur le mal, de Dieu et de son rĂšgne sur le Malin et sur tous ses alliĂ©s. La Parousie est la rĂ©ponse chrĂ©tienne au problĂšme du mal. Elle sera l’accomplissement dĂ©finitif du mystĂšre de PĂąques, l’ultime passage de la croix des Ă©preuves terrestres et celles des derniers temps, la " grande tribulation " eschatologique sera redoutable pour l’Église, Ă  la joie radieuse de la rĂ©surrection. C’est dans cette perspective que nous devons envisager le jugement dernier. Comme tous les " jugements " divins dans la Bible, il sera essentiellement un acte de dĂ©livrance et de salut. Ceux qui seront condamnĂ©s, ce sont ceux qui se seront volontairement identifiĂ©s aux puissances du mal, Ă  l’opposition au rĂšgne de Dieu, Ă  son dessein de salut et de bonheur infini pour ses crĂ©atures. À leur dĂ©faite dĂ©finitive s’oppose la victoire de tous ceux qui auront acceptĂ© d’ĂȘtre sauvĂ©s, d’ĂȘtre aimĂ©s et d’aimer Celui qui les a aimĂ©s " Efforçons-nous donc avant tout de porter en nous la marque et le sceau du Seigneur Car au temps du Jugement, quand paraĂźtra la rigueur de Dieu " cf. Rm 11,22, quand toutes les tribus de la terre et Adam tout entier seront rassemblĂ©s, quand le pasteur appellera ses brebis, tous ceux qui porteront sa marque reconnaĂźtront leur pasteur, et le pasteur reconnaĂźtra ceux qui porteront son sceau spĂ©cial. Et il les rassemblera de toutes les nations. Car " les siens entendent sa voix et vont derriĂšre lui " Jn 10,27. Le monde, en effet, se verra partagĂ© en deux d’un cĂŽtĂ©, le sombre troupeau qui ira au feu Ă©ternel ; de l’autre, le troupeau resplendissant de lumiĂšre, qui sera conduit vers son hĂ©ritage cĂ©leste. Or c’est prĂ©cisĂ©ment ce que nous possĂ©dons dĂšs maintenant dans notre Ăąme, qui brillera alors, se manifestera et revĂȘtira nos corps de gloire. Au mois de xanthique, les racines enfouies dans la terre produisent chacune ses propres fleurs et ses propres fruits avec leur beautĂ©, et elles fructifient. Les bonnes racines et celles qui portent des Ă©pines deviennent manifestes. C’est ainsi qu’en ce Jour-lĂ  chacun rĂ©vĂ©lera par l’éclat de son corps ses actions passĂ©es ; le bien comme le mal seront manifestĂ©s. C’est en cela en effet que consistent tout le jugement et la rĂ©tribution 4. L’APOCATASTASE Le terme d’apocatastase est un terme grec qui signifie la restauration d’un Ă©tat antĂ©rieur, le retour Ă  une situation originelle. AppliquĂ© Ă  l’eschatologie chrĂ©tienne, il exprime une thĂ©orie selon laquelle, Ă  la fin des temps, tout l’univers créé serait rĂ©tabli dans son harmonie originelle et tous seraient sauvĂ©s, y compris les damnĂ©s et les dĂ©mons. Cette conception se rattache Ă  la vision " mythique " du cosmos Ă©laborĂ©e par OrigĂšne v. 185 – v. 254. Celui-ci pensait qu’à l’origine, Dieu avait créé un univers composĂ© d’ĂȘtres purement spirituels ; faisant un mauvais usage de leur libertĂ©, tous – sauf l’ñme du Christ – seraient tombĂ©s plus ou moins gravement, et auraient alors Ă©tĂ© revĂȘtus de corps plus ou moins " Ă©pais ", et seraient ainsi devenus anges, hommes ou dĂ©mons. À la fin des temps, aprĂšs des purifications successives, tous reviendraient Ă  leur condition premiĂšre et reformeraient l’hĂ©nade originelle, c’est-Ă -dire l’unitĂ© primitive des crĂ©atures spirituelles. Cette conception du salut universel, qui nie l’éternitĂ© de l’enfer, mĂ©connaĂźt Ă  la fois l’insondable mystĂšre de l’amour de Dieu, qui transcende toutes nos conceptions rationnelles ou sentimentales, et le mystĂšre de la personne humaine et de sa libertĂ©. L’amour de Dieu implique un total respect de ses crĂ©atures, allant jusqu’à une " impuissance volontaire " devant le refus Ă©ventuel de leur libertĂ©. Les textes de l’Écriture nous obligent Ă  maintenir les deux affirmations antinomiques de la totale victoire de Dieu sur le mal Ă  la fin des temps, et de la possibilitĂ© de la damnation Ă©ternelle, la seconde ne pouvant ĂȘtre que l’envers de la premiĂšre. Seul convient ici le silence de l’intellect devant le mystĂšre. C’est pourquoi la doctrine de l’apocatastase, acceptĂ©e par saint GrĂ©goire de Nysse et, plus tard, par les grands mystiques syriens Isaac de Ninive et Joseph Hazzaya, a Ă©tĂ© condamnĂ©e en 553 par le Ve Concile ƓcumĂ©nique, en mĂȘme temps qu’un certain nombre d’élĂ©ments de la doctrine d’OrigĂšne, rĂ©duite en systĂšme par des disciples tardifs. Ce rejet de l’affirmation du salut universel par la tradition orthodoxe n’interdit Ă©videmment pas l’intercession ardente pour le salut de tous et l’espĂ©rance en leur conversion finale. L’ÉPECTASE Une question peut encore ĂȘtre posĂ©e au sujet de la bĂ©atitude Ă©ternelle des Ă©lus celle-ci doit-elle ĂȘtre conçue comme une contemplation immobile et rassasiante, ou peut-elle comporter une croissance, une dĂ©couverte sans cesse renouvelĂ©e d’une RĂ©alitĂ© inĂ©puisable ? L’un des aspects les plus originaux de la pensĂ©e de saint GrĂ©goire de Nysse est sa doctrine de l’épectase, selon laquelle la divinisation de l’homme, ici-bas et dans l’éternitĂ©, implique un progrĂšs et une tension sans fin, qu’illustre l’image du coureur de l’ÉpĂźtre aux Philippiens 3,13 " Oubliant le chemin parcouru, je vais droit de l’avant, tendu de tout mon ĂȘtre Ă©pecteinomenos d’oĂč le terme d’épectase et je cours vers le but... " Comme l’explique Jean DaniĂ©lou, l’un des meilleurs connaisseurs du grand Cappadocien Il y a Ă  la fois pour l’ñme un aspect de stabilitĂ©, de possession, qui est la participation qu’elle a Ă  Dieu – et de l’autre un aspect de mouvement qui est l’écart toujours infini de ce qu’elle possĂšde de Dieu et de ce que Dieu est... La vie spirituelle est ainsi une transformation perpĂ©tuelle de l’ñme en JĂ©sus Christ sous forme d’une ardeur croissante, la soif de Dieu augmentant Ă  mesure qu’il est davantage participĂ©, et d’une stabilitĂ© croissante, l’ñme s’unifiant et se fixant toujours davantage en Dieu 5. Sans retenir l’idĂ©e d’une croissance dans la bĂ©atitude, de nombreux auteurs de l’époque patristique – saint Maxime le Confesseur en particulier – ont utilisĂ© le thĂšme du dĂ©sir, de l’absence de satiĂ©tĂ© au sein mĂȘme de la vision de Dieu pour exprimer l’éternelle nouveautĂ© de la joie des Ă©lus. On en retrouve l’écho, en Occident, chez un GrĂ©goire le Grand. Il s’agissait pour lui de concilier deux affirmations antinomiques de l’Écriture " Les anges dĂ©sirent fixer sur lui leurs regards " 1 P 1,12 ; et " Dans le ciel leurs anges voient sans cesse la face de mon PĂšre qui est dans les cieux " Mt 18,10 Si l’on compare ces deux assertions, on constatera qu’elles ne se contredisent en rien. Car les anges, tout Ă  la fois, voient Dieu et dĂ©sirent le voir ; ils ont soif de le contempler et ils le contemplent. S’ils le dĂ©siraient sans jouir de l’effet de leur dĂ©sir, ce dĂ©sir stĂ©rile serait cause d’anxiĂ©tĂ©, et l’anxiĂ©tĂ© de souffrance. Mais les anges bienheureux sont Ă©loignĂ©s de toute souffrance d’anxiĂ©tĂ©, puisque souffrance et bĂ©atitude sont incompatibles... Pour qu’il n’y ait donc pas d’anxiĂ©tĂ© dans le dĂ©sir ils sont rassasiĂ©s tout en dĂ©sirant, et pour que le rassasiement n’entraĂźne pas de dĂ©goĂ»t, ils dĂ©sirent tout en Ă©tant rassasiĂ©s... il en sera de mĂȘme pour nous quand nous viendrons Ă  la source de Vie nous Ă©prouverons avec dĂ©lices, tout ensemble, soif et rassasiement 6. Brochure Ă©ditĂ© par le MonastĂšre Saint-Antoine-le-Grand, 26190 St-Laurent-en-Royans, France. Reproduit dans la revue Le Chemin, no. 33 1996. Reproduit avec l'autorisation de l'Archimandrite Placide. NOTES 1 S. Athanase d’Alexandrie, Vie de saint Antoine, c. 65-66. 2 Myrrha Lot-Borodine, " La bĂ©atitude dans l’Orient chrĂ©tien ", dans Dieu Vivant, 15 1950, pp. 85 ff. 3 Idem., pp. 106-107. 4 Macaire d’Égypte, HomĂ©lies spirituelles, 12, 13-14, " SpiritualitĂ© orientale ", n° 40, Abbaye de Bellefontaine, 1984, p. 170. 5 J. DaniĂ©lou, Platonisme et thĂ©ologie mystique, Paris, 1944, pp. 305-307. 6 S. GrĂ©goire le Grand, Morales sur Job, 18,54,91 ; PL 76, 94ac. DĂ©but de la Page Page d'Accueil Souffrance, Mort et RĂ©surrrection - Introduction DerniĂšre mise Ă  jour 16-08-02 Dans la sociĂ©tĂ© dans laquelle nous vivons actuellement, l’homme est assez souvent considĂ©rĂ© comme la crĂ©ature Ă  abattre, comme le sexe responsable de tous les maux de la terre, comme celui dont on doit se mĂ©fier et se protĂ©ger. Et si nous cessions de considĂ©rer les hommes comme des ennemis qui nous veulent du mal ? Si nous nous efforcions de les respecter et de les honorer comme il se doit ? Non seulement, cette attitude sera bien plus bĂ©nĂ©fique Ă  la famille et Ă  la sociĂ©tĂ© que celle de la plupart des fĂ©ministes Ă  l’heure actuelle, mais elle sera Ă©galement trĂšs profitable pour les femmes, comme pour les hommes. Comme le disait l’amĂ©ricain Russell Lynes, “une lady est une femme qui rend aisĂ© Ă  l’homme de se conduire en gentleman“. Beaucoup d’entre vous je l’espĂšre en tout cas ! sont loin de considĂ©rer les hommes comme leurs ennemis. Cependant, faisons-nous tout ce qui est en notre pouvoir pour les traiter avec respect, et ĂȘtre pour eux l’aide et la compagne agrĂ©able que le bon Dieu nous a destinĂ©es Ă  ĂȘtre dĂšs la GenĂšse ? Sommes-nous Ă  la hauteur de notre mission qui consiste Ă  nous sanctifier et Ă  tirer les hommes vers le Ciel avec nous ? Bien entendu, les hommes font aussi des efforts de leur cĂŽtĂ©, mais nous nous concentrerons ici davantage sur l’aspect de la complĂ©mentaritĂ© entre les deux sexes. Souvent, nous nous concentrons sur nos blessures, sur les injustices que nous pouvons parfois subir, sur les sacrifices que nous faisons pour l’autre, et cela peut finir par engendrer colĂšre et frustration. Parfois, nous voulons changer l’autre mais sans changer nous-mĂȘme ou, tout du moins, nous voulons laisser l’homme faire le premier pas vers le changement, pour ĂȘtre sĂ»res que cela vaille la peine de s’investir dans une telle remise en question. N’ayons pas peur de changer en premier ! Lorsqu’une femme se remet en question et fait tout pour ĂȘtre fĂ©minine et pour dompter ses dĂ©fauts, trĂšs souvent l’homme va naturellement changer d’attitude. En arrĂȘtant de l’infantiliser, de le harceler, de toujours lui dire quoi faire, de le materner et de vouloir le changer, la femme va ĂȘtre beaucoup plus paisible et agrĂ©able, et il y a des chances que l’homme retrouve sa place rapidement. Si la femme l’admire sincĂšrement, le remercie pour tout ce qu’il fait, le met en valeur, accepte ses cadeaux et compliments sans jugement, ne monte pas sur ses grands chevaux Ă  chaque critique ou remarque, ne veut pas toujours avoir le dernier mot, lui montre qu’elle l’aime et qu’elle croit en lui, et qu’elle respecte son autoritĂ©, l’homme aura naturellement envie d’ĂȘtre meilleur et de tout faire pour ĂȘtre digne de la femme qui le traite ainsi, sans que celle-ci ne lui demande quoi que ce soit. Ces affirmations sont Ă  nuancer en fonction de la situation relations de couples, amicales, familiales, professionnelles
 mais ce sont de bonnes pistes de rĂ©flexions pour les femmes qui souhaitent tirer les hommes vers le haut et les encourager Ă  donner le meilleur d’eux-mĂȘmes. La femme a un pouvoir terrible sur le cƓur de l’homme. Terrible car elle peut susciter le meilleur comme le pire chez lui. Elle a donc une grande responsabilitĂ© ! Souvent, la femme prie pour changer l’homme ou lui demande Ă  longueur de temps de changer car, selon elle, c’est lui qui est la cause de tous les problĂšmes. Il ne parle pas assez, il regarde trop la tĂ©lĂ©vision, il n’a pas un mĂ©tier assez bon, il n’est pas un assez bon chrĂ©tien, il devrait faire plus de compliments, etc. Souvent nous faisons tous ces reproches et bien d’autres aux hommes, en espĂ©rant qu’ils comprennent et qu’ils changent. Mais gĂ©nĂ©ralement, cela ne fait que les agacer et les enfoncer encore plus dans leur silence. Essayons de mettre en place un cercle vertueux quand un homme se sent respectĂ© par sa femme, il va l’aimer davantage et lui ĂȘtre plus attentif ; quand une femme se sent aimĂ©e par un homme, alors gĂ©nĂ©ralement elle va le respecter davantage, et de façon naturelle. Quand une femme ne se sent pas aimĂ©e, elle finit par manquer de respect. Et s’il ne se sent pas respectĂ© et admirĂ©, l’homme ne montrera plus son amour. Il faut donc que l’un des deux ait le courage et l’humilitĂ© de sortir de ce cercle vicieux et de faire le premier pas. Donnons Ă  l’autre ce dont il a besoin pour recommencer un cercle vertueux et guĂ©rir la relation ! Beaucoup de femmes m’écrivent rĂ©guliĂšrement pour me dire qu’en arrĂȘtant de vouloir changer leurs Ă©poux, et en commençant par se changer elles-mĂȘmes et se remettre en question, elles ont vu Ă©normĂ©ment d’amĂ©liorations dans leur vie de famille. Nous pouvons appliquer cela aussi Ă  l’échelle de la sociĂ©tĂ© en Ă©tant plus fĂ©minines, en restant Ă  notre place, en mettant tout en Ɠuvre pour ĂȘtre de saintes femmes, nous aiderons les hommes Ă  ĂȘtre vraiment virils, et Ă  ĂȘtre de saints hommes. Cela passe tout d’abord par notre attitude et notre tenue vestimentaire par notre modestie et notre dĂ©cence, aidons les hommes Ă  rester purs et chastes, et Ă  contrĂŽler leurs passions. De plus, n’essayons pas de prendre leur place quel que soit le domaine, mais encourageons-les Ă  prendre la leur et Ă  accepter les responsabilitĂ©s qui leur incombent ! Enfin, et c’est peut-ĂȘtre le plus important, acceptons d’ĂȘtre rationalisĂ©es par eux. Les femmes ont tendance Ă  ĂȘtre dans l’émotionnel, dans l’intuition, dans les impressions. Ce n’est pas une mauvaise chose en soi, mais cela peut vraiment nous porter prĂ©judice et nous enfermer dans notre sensibilitĂ©. Acceptons un point de vue masculin plus global, plus objectif, qui voit plus Ă  long terme, qui garde son sang-froid et qui n’a pas peur du “quand dira-t-on ?”. Faisons confiance aux hommes et laissons-les reprendre la place qui est la leur dans la famille comme dans la sociĂ©tĂ©. Ces articles peuvent Ă©galement vous intĂ©resser Qu’est-ce qu’une grande femme ? et Aider les hommes Ă  ĂȘtre plus virils en Ă©tant plus fĂ©minines CrĂ©dit photo Pexels. Une heure viendra, la derniĂšre d'un jour terrestre, sans lendemain, oĂč la vie prendra fin, suivie d'une autre vie, dans l'autre fera renaĂźtre les crĂ©atures et les rassemblera devant LUI pour LUI rendre compte de ce qu'ils ont fait. Les bons seront rĂ©compensĂ©s par un sĂ©jour Ă©ternel au Paradis, et les mĂ©chants par un supplice avilissant dans le destinĂ©e sera prĂ©cĂ©dĂ©e par des signes prĂ©curseurs, des grands signes qui annonceront la fin de toute vie que ce soit terrestres, astres, solaires et tout ce qui existe - L'apparition de l'AntĂ©christ qui sera tuĂ© par JĂ©sus fils de Marie aprĂšs sa descente du ciel sur terre, pour vivre quelques temps. Puis, JĂ©sus Le lever du soleil du cĂŽtĂ© de l'Occident lieu habituel de son coucher.- La naissance de Mehdi qui sera de la famille du prophĂšte qui s'appellera Mohammad ÙˆŰłÙ„Ù… Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ L'apparition d'une grande bĂȘte bizarre qui parlera aux gens et qui sera visible par toute l' L'apparition d'une fumĂ©e noire dans le ciel qui sera aperçu par toute l' L'apparition du peuple de Gog et Et trois phĂ©nomĂšnes sismiques le premier au Machrek Ă  l'Orient, le second au Maghreb Ă  l'Occident, et le troisiĂšme dans la pĂ©ninsule arabique un feu surgira du YĂ©men et chassera les gens vers le lieu de la 55, Verset 26 Dieu a dit "Tout ce qui est sur elle [la terre] doit disparaĂźtre."Sourate 23, Verset 115 Dieu a dit "Pensiez-vous que Nous vous avions créés sans but, et que vous ne seriez pas ramenĂ©s vers Nous?"Sourate 99 AZ-ZALZALAH LA SECOUSSE 1- Quand la terre tremblera d'un violent tremblement,2- et que la terre fera sortir ses fardeaux,3- et que l'homme dira "Qu'a-t-elle ?"4- ce jour-lĂ , elle contera son selon ce que ton Seigneur lui aura rĂ©vĂ©lĂ© [ordonnĂ©].6- Ce jour-lĂ , les gens sortiront sĂ©parĂ©ment pour que leur soient montrĂ©es leurs Quiconque fait un bien fĂ»t-ce du poids d'un atome, le verra,8- et quiconque fait un mal fĂ»t-ce du poids d'un atome, le 47, Verset 18 Dieu a dit "Qu'est-ce qu'ils attendent sinon que l'Heure leur vienne Ă  l'improviste? Or ses signes avant-coureurs sont certes dĂ©jĂ  venus. Et comment pourront-ils se rappeler quand elle leur viendra Ă  l'improviste ?"Et aprĂšs cela, Dieu donnera l'ordre Ă  l'ange IsrĂąfĂźl de sonner dans sa trompe et tout sera mort et dĂ©truit. Il restera que Dieu tout seul dans son 39, Verset 68 Dieu a dit "Et on soufflera dans la Trompe, et voilĂ  que ceux qui seront dans les cieux et ceux qui seront sur la terre seront foudroyĂ©s, sauf ceux qu'Allah voudra [Ă©pargner]. Puis on y soufflera de nouveau, et les voilĂ  debout Ă  regarder."Sourate 56, Versets 4 Ă  6 4- Quand la terre sera secouĂ©e violemment,5- et les montagnes seront rĂ©duites en miettes,6- et qu'elles deviendront poussiĂšre cette fin de toutes choses existantes dans tout l'univers. Dieu ordonnera pour la deuxiĂšme fois Ă  son ange Israfil de souffler dans la trompe pour que les ĂȘtres humains, les djinns, les anges et les animaux ressuscitent pour le rassemblement gĂ©nĂ©ral et le Jugement 36, Versets 51 Ă  54 51- Et on soufflera dans la Trompe, et voilĂ  que, des tombes, ils se prĂ©cipiteront vers leur en disant "Malheur Ă  nous ! Qui nous a ressuscitĂ©s de lĂ  ou nous dormions ?" C'est ce que le Tout MisĂ©ricordieux avait promis ; et les Messagers avaient dit Ce ne sera qu'un seul Cri, et voilĂ  qu'ils seront tous amenĂ©s devant Ce jour-lĂ , aucune Ăąme ne sera lĂ©sĂ©e en rien. Et vous ne serez rĂ©tribuĂ©s que selon ce que vous ces crĂ©atures seront rassemblĂ©es dans une vaste terre autre que celle que nous connaissons. Tout sera prĂ©sent au mĂȘme 14, Verset 48 Dieu a dit "au jour oĂč la terre sera remplacĂ©e par une autre, de mĂȘme que les cieux et oĂč les hommes comparaĂźtront devant Allah, l'Unique, le Dominateur SuprĂȘme."A ce jour, les prophĂštes seront au rendez-vous avec leur peuple pour rendre compte de la transmission de leur message Ă  leur 39, Versets 69 et 70 69- Et la terre resplendira de la lumiĂšre de son Seigneur ; le Livre sera dĂ©posĂ© et on fera venir les prophĂštes et les tĂ©moins ; on dĂ©cidera parmi eux en toute Ă©quitĂ© et ils ne seront point lĂ©sĂ©s ;70- et chaque Ăąme sera pleinement rĂ©tribuĂ©e pour ce qu'elle aura oeuvrĂ©. Il [Allah] connaĂźt mieux ce qu'ils jour-lĂ , chacun est responsable de ses actes, de ses gestes et de ses paroles, il sera tĂ©moin pour doit lire son livre lui-mĂȘme, chacun pour soi il n'y aura ni relations familiales ni amitiĂ©, ni patriotisme, aucune relation n'est considĂ©rĂ©e ce jour-lĂ , sauf la misĂ©ricorde de Dieu et sauf l'intersection de prophĂšte Mohammad ÙˆŰłÙ„Ù… Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه pour sa famille et pour les musulmans qui fait de grands pĂ©chĂ©s avec la permission de Dieu. Ce jour-lĂ , les humains seront partagĂ©s en deux groupes, l'un au Paradis et l'autre en 3, Verset 106 Dieu a dit "Au jour oĂč certains visages s'Ă©claireront, et que d'autres s'assombriront. A ceux dont les visages seront assombris il sera dit "avez-vous mĂ©cru aprĂšs avoir eu la foi?" Eh bien, goĂ»tez au chĂątiment, pour avoir reniĂ© la foi"Sourate 4, Verset 124 Dieu a dit "Et quiconque, homme ou femme, fait de bonnes oeuvres, tout en Ă©tant croyant... les voilĂ  ceux qui entreront au Paradis ; et on ne leur fera aucune injustice, fĂ»t-ce d'un creux de noyau de datte."Sourate 20, Verset 74 Dieu a dit "Quiconque vient en criminel Ă  son Seigneur, aura certes l'Enfer oĂč il ne meurt ni ne vit."Et ce jour-lĂ  qui est la fin du monde, le jour du Jugement Dernier et de RĂ©surrection, il n'y a que Dieu qui connaĂźt sa date exacte, sa place. La croyance en ce jour est un pilier de la les nĂ©gateurs ne connaissent pas ce 27, Verset 65 Dieu a dit "Dis "Nul de ceux qui sont dans les cieux et sur la terre ne connaĂźt l'Inconnaissable, Ă  part Allah". Et ils ne savent pas quand ils seront ressuscitĂ©s."Sourate 27, Verset 67 Dieu a dit "Et ceux qui ne croient pas disent "Est-ce que, quand nous serons poussiĂšre, nous et nos pĂ©res, est-ce que vraiment on nous fera sortir de nos tombes" ?"

dans les derniers temps les hommes seront