Histoire Ce prĂ©nom se rĂ©fĂšre Ă  Apollon, le nom du dieu de la lumiĂšre, de la beautĂ© et des arts dans la mythologie grecque. Apolline a connu une longue traversĂ©e du dĂ©sert depuis son introduction. AprĂšs s'ĂȘtre fait particuliĂšrement discret pendant plusieurs siĂšcles, ce prĂ©nom a refait surface en France Ă  partir des annĂ©es 1990. Desquestions ? - Topic [Photo] Je suis actuellement en train de naviguer du 25-06-2020 12:08:15 sur les forums de jeuxvideo.com 1- Biographie. Apolline de Malherbe, nĂ©e le 21 mars 1980 dans le 16e arrondissement de Paris, est une journaliste française de tĂ©lĂ©vision travaillant sur la chaĂźne d'information en continu BFM TV. Elle est la fille du peintre Guy de Lesmeilleures choses Ă  voir et Ă  faire Ă  Vannes, Morbihan : dĂ©couvrez 65 943 avis de voyageurs et photos de 98 choses Ă  faire Ă  Vannes, sur Tripadvisor. Vousl’avez vue, elle est en train de se prĂ©parer, Sibeth Ndiaye. Elle Ă©tait dans son bureau, peut-ĂȘtre pas tout Ă  fait consciente qu’elle Ă©tait filmĂ©e comme vous avez pu le voir».Sur les rĂ©seaux sociaux, certains internautes ont raillĂ© l’attitude de la porte-parole du gouvernement : « JacquesFontaine arrive au terme de son service auprĂšs de la Compagnie, ramenĂ© de huit Ă  six ans. Il obtient une concession et choisit celle de l habitation de Saint-Paul, le vieux Saint-Paul qu il connaĂźt dĂ©jĂ . Il s y installe et bĂątit sa maison, cultive sa terre gĂ©nĂ©reuse. L Depuis2019, le Cortecs travaille avec la mĂ©diathĂšque d’Aubagne et les services jeunesse et prĂ©vention de la Mairie d’Aubagne pour Ă©laborer et construire des ateliers sur la thĂ©matique de l’esprit critique et de l’autodĂ©fense intellectuelle Ă  destination des Ă©lĂšves des collĂšges et lycĂ©es de l’acadĂ©mie d’Aix-Marseille. rDDQtJ. Lors de sa confĂ©rence Connect 2021, le PDG de Facebook, Mark Zuckerberg, a annoncĂ© le nom Meta ». Ce nom est la nouvelle identitĂ© du groupe Facebook. Cela suscite beaucoup de questions et d'interrogations auxquelles nous allons apporter des rĂ©ponses. Pourquoi Facebook change-t-il de nom au profit de Meta ? Ce changement de marque suggĂšre que Mark Zuckerberg considĂšre son entreprise avec une future orientation trĂšs diffĂ©rente de celle qu’elle a actuellement. Mark Zuckerberg // Source Facebook La prĂ©sentation Ă  la confĂ©rence Connect s’est fortement concentrĂ©e sur l’idĂ©e du mĂ©taverse, une vision d’un univers de mĂ©dias sociaux qui peut se dĂ©placer de maniĂšre transparente entre les smartphones, les lunettes VR et les lunettes de rĂ©alitĂ© augmentĂ©e. Cette idĂ©e semble reposer sur chacun des services de Meta fonctionnant de concert, et l’annonce de Zuckerberg incluait beaucoup d’élĂ©ments Ă  ce sujet, avec les systĂšmes Instagram, Facebook, WhatsApp et Oculus fonctionnant en tandem dans une dĂ©monstration des futures possibilitĂ©s sociales, de travail et de jeu. Cependant, le fondateur de Facebook espĂšre certainement laisser derriĂšre lui les controverses diverses et croissantes. L’annonce arrive en pleine affaire des Facebook Files ». Le groupe amĂ©ricain fait face Ă  des rĂ©vĂ©lations de documents massives sur la façon dont Facebook a ignorĂ© des rapports internes et avertissements sur les dommages créés par le rĂ©seau social Ă  travers le monde. L’application Facebook va-t-elle changer de nom ? Facebook restera Facebook. Mark Zuckerberg a changĂ© le nom de son entreprise pour que Facebook n’englobe plus tout ce que nous faisons ». Les applications de rĂ©seaux sociaux seront toujours » une prioritĂ© pour Meta, Instagram, WhatsApp mais aussi Facebook ne changeront pas de nom. Selon Mark Zuckerberg, une marque trop Ă©troitement liĂ©e Ă  un produit ne peut pas reprĂ©senter tout ce que le groupe fait aujourd’hui. Il y a nĂ©anmoins une exception, la marque Oculus devrait disparaĂźtre au profit de Meta. Nous voulons prĂ©ciser que Quest est un produit Meta », a Ă©crit Andrew Bosworth, vice-prĂ©sident de Meta RA/VR, dans un article publiĂ© sur Facebook. Qu’est-ce que signifie Meta ? Il y a toujours autre choisi Ă  construire », a dĂ©clarĂ© Zuckerberg, faisant rĂ©fĂ©rence Ă  la nouvelle dĂ©signation. Meta, qui trouve ses racines dans le grec, est un terme que l’on pourrait traduire par au-delĂ  » ou aprĂšs . Il exprime tout Ă  la fois la rĂ©flexion, le changement, la succession, le fait d’aller au-delĂ , Ă  cĂŽtĂ© de, entre ou avec. Le mĂ©tavers » trouve son origine dans la science-fiction. Au dĂ©but des annĂ©es 1990, l’auteur Neal Stephenson a utilisĂ© pour la premiĂšre fois ce terme dans Le SamouraĂŻ virtuel titre anglais Snow Crash. Le livre Ă©voque une sorte de jeu en ligne oĂč l’on entre Ă  travers des lunettes ou des Ă©crans connectĂ©s pour expĂ©rimenter une rĂ©alitĂ© alternative. Dans ce roman dystopique, les gens fuient le monde rĂ©el en ruine pour ĂȘtre complĂštement immergĂ©s dans un monde virtuel. Bien qu’il reconnaisse que les origines du mot sont une escroquerie », Mark Zuckerberg essaie de rĂ©cupĂ©rer le mĂ©tavers comme une idĂ©e utopique qui ouvrira une toute nouvelle Ă©conomie de biens et services virtuels. La vision mĂ©taverse » de Mark Zuckerberg est-elle rĂ©alisable ? Faire de Facebook une entreprise mĂ©taverse prendra du temps, car le concept est trĂšs thĂ©orique. Dans ce nouvel univers que Mark Zuckerberg souhaite dĂ©velopper, rĂ©el et virtuel se confondent jusqu’à se confondre. Écrans, hologrammes, casques de rĂ©alitĂ© virtuelle et lunettes de rĂ©alitĂ© augmentĂ©e seront censĂ©s permettre des dĂ©placements » dans des univers virtuels qui recrĂ©ent le monde rĂ©el Ă  l’identique. Plus besoin de marcher ni de faire d’effort physique, on se tĂ©lĂ©porte » dĂ©sormais d’univers virtuels en univers virtuels. Nous devons construire le tissu conjonctif entre les diffĂ©rents espaces numĂ©riques pour dĂ©passer les limitations physiques et circuler entre eux avec la mĂȘme facilitĂ© qu’entre les piĂšces de sa maison », a expliquĂ© le co-fondateur de Meta. Le mĂ©tavers » n’est pas une utopie futuriste, des communautĂ©s de mĂ©taverses » existent dĂ©jĂ , mais sous forme embryonnaire. Comme Roblox, une plateforme de jeux créée par des enfants et des adolescents, ou Fortnite, le jeu a conquis 350 millions de personnes. Dans ce jeu, il y a eu cinq concerts virtuels du rappeur amĂ©ricain Travis Scott, apparu en avatar sur Fortnite, ces concerts Ă©tĂ© suivis par plus de 12 millions de joueurs. Travis Scott dans Fortnite On se souvient aussi de Second Life », le premier mĂ©taverse » virtuel en 3D gratuit qui a attirĂ© plus de 20 millions d’utilisateurs. Selon Mark Zuckerberg, les smartphones sont des technologies trop limitĂ©es comme moyen de communication et d’accĂšs aux espaces numĂ©riques Les gens ne sont pas censĂ©s naviguer dans une grille d’applications. Je pense que nous interagissons beaucoup plus naturellement lorsque nous pensons ĂȘtre prĂ©sents avec d’autres personnes ». Mark Zuckerberg n’est pas si pressĂ© pour atteindre cet objectif. Facebook et ses applications sƓurs restent une entreprise gĂ©ante, gĂ©nĂ©rant plus de 86 milliards de dollars de revenus annuels avec plus de 3,5 milliards d’utilisateurs dans le monde. Pour nous suivre, nous vous invitons Ă  tĂ©lĂ©charger notre application Android et iOS. Vous pourrez y lire nos articles, dossiers, et regarder nos derniĂšres vidĂ©os YouTube. ï»żServerName waf-master-vm LocalTime August 17, 2022, 846 pm TransactionID dc9ff2bf5177069505c22b707e866093Remote Address Country UkraineUA Method GET Requested URL Protocol HTTP/ User Agent Mozilla/ Windows NT Win64; x64 AppleWebKit/ KHTML, like Gecko Chrome/ Safari/ Please contact the webmaster of this website and provide the information above if you think this is a mistake. return to Photos d'actualitĂ©sImagesImages crĂ©ativesPhotos d'actualitĂ©sVidĂ©osVidĂ©os crĂ©ativesVidĂ©os d’actualitĂ©s"Elle Power Girl Barbie" Photocall At Cite des Sciences Et De L'Industrie In ParisPARIS, FRANCE - MARCH 16 Journalist Apolline de Malherbe attends "Elle Power Girl Barbie" at La Cite des Sciences on March 16, 2019 in Paris, France. Photo by Laurent Viteur/Getty ImagesImages embarquĂ©esImage-maquette NĂ©e en 1913 dans la commune de Camburat Lot, et dĂ©cĂ©dĂ©e en 2012, Édith Battut a choisi la formation de surintendante par curiositĂ© intellectuelle et volontĂ© de jouer un rĂŽle actif dans une sociĂ©tĂ© qui offrait peu de perspectives aux femmes. Un an aprĂšs sa sortie de l’école des Surintendantes Paris, un poste lui est proposĂ© Ă  St Brieuc pour structurer un service social initiĂ© par le jeune PĂšre Lebret, dominicain. CĂ©libataire, elle fera l’ensemble de sa carriĂšre auprĂšs de cette population maritime, dĂ©veloppant le service social maritime, service social polyvalent de catĂ©gorie, crĂ©ant un ensemble de services collectifs, sur le territoire français et d’outre mer, puis, dans les annĂ©es 1970, accompagnant ses mutations. NĂ©e en 1913 dans une famille de la petite bourgeoisie du Lot, Édith Battut comme ses frĂšres et sƓurs fait des Ă©tudes secondaires, et se trouve confrontĂ©e au faible choix offert alors aux femmes en matiĂšre d’orientation. S’étant rapprochĂ©e du ministĂšre de la santĂ©, elle prend connaissance de la formation proposĂ©e par l’école des Surintendantes Paris dont les objectifs une vie active avec des responsabilitĂ©s au service de l’humanitĂ© » et le programme l’attire. Elle s’y s’inscrit en 1934, simplement armĂ©e de son baccalaurĂ©at. Accueille par J. Sivadon au sein d’une promotion de 35 Ă©lĂšves, elle doit prĂ©parer en parallĂšle son diplĂŽme de la Croix Rouge et manifeste un intĂ©rĂȘt notamment pour les cours de psychiatrie et d’économie politique. Elle apprĂ©cie l’ouverture intellectuelle de l’école oĂč elle entend parler des mouvements de pensĂ©e contemporaine avec les cours d’un pĂšre jĂ©suite ou d’un syndicaliste de la CGT. A la sortie de l’école elle adhĂšre Ă  l’association des anciennes. À sa sortie, elle participe Ă  une Ă©tude sur la sous-alimentation des enfants, puis travaille Ă  mi-temps au service d’entr’aide du 5e arrondissement de Paris, mais ce poste l’intĂ©resse peu. En juin 1937, Jeanne Sivadon, directrice de l’Ecole des Surintendantes, lui propose un poste Ă  Saint-Brieuc il s’agit faire fonctionner, pour le dĂ©partement des CĂŽtes du nord, un bureau d’embarquement de marins et de crĂ©er un service social pour cette population dont l’initiative revient au pĂšre Lebret, jeune dominicain breton, futur fondateur 1942 du centre d’études Economie et humanisme », puis de la revue du mĂȘme nom. Elle part s’installer Ă  St Brieuc en septembre 37, loge dans un hĂŽtel, effectue divers stages Ă  St Malo et au Havre la Compagnie gĂ©nĂ©rale Transatlantique est alors la seule compagnie Ă  avoir un service social, et dans le seul port du Havre. On lui met Ă  disposition un bureau. À la fin de sa premiĂšre annĂ©e, elle achĂšte un vĂ©hicule et recrute une secrĂ©taire. Elle dĂ©clare alors gagner 1 200 francs par mois en 1937, le salaire d’un ouvrier parisien est estimĂ© Ă  2 000 francs. Dans son premier rapport d’activitĂ©, elle dĂ©crit la population maritime Ă©valuĂ©e Ă  54 000 marins le marin et sa famille, les spĂ©cificitĂ©s de leur mode de vie du marin, procĂšde Ă  une revue des Compagnies de navigation ou SociĂ©tĂ©s d’armement dans les diffĂ©rents ports de France. Elle alerte sur la protection sociale des gens de mer depuis Colbert ils bĂ©nĂ©ficient d’un rĂ©gime spĂ©cifique avec 2 caisses caisse gĂ©nĂ©rale de prĂ©voyance et caisses de retraite, leur Ăąge de dĂ©part en retraite est alors de 55 ans. Ils bĂ©nĂ©ficient d’une Caisse de compensation allocations familiales créée par les armateurs, dont le siĂšge est Ă  Paris. Mais dans ce rapport, elle traite aussi des organismes professionnels comitĂ© central des armateurs et CGT et des institutions d’aide il n’existe alors pas de service social ni de fonds de secours Ă  part le service social de la compagnie transatlantique du Havre et quelques rares foyers d’hĂ©bergement, sortes d’asile de nuit Le Havre, Bordeaux
. Elle conclut son rapport sur la nĂ©cessitĂ© de crĂ©er un service spĂ©cialisĂ©, compte tenu des particularismes de la profession de marin, de son isolement, avec ses rĂ©percussions sur la vie familiale et la nĂ©cessitĂ© de crĂ©er un rĂ©seau de services liĂ© Ă  l’implantation des ports. En juin 1938, elle rĂ©dige son mĂ©moire de fin formation nourri de ce rapport d’activitĂ©, et s’entend dire par une de ses examinatrices qu’elle se fourvoyait et n’aboutirait pas. Affirmant ainsi un point de vue et dĂ©fendant un projet, elle a failli Ă©chouer, et dĂ©clare alors s’ĂȘtre sentie proche de la population avec laquelle elle travaille tels nos marins nous nous sentions incomprise par les gens de terre ». C’est toutefois sur cette base qu’elle construira le service social maritime, sous forme associative, mettant ainsi en pratique sa toute rĂ©cente formation sur la loi 1901. L’objectif est Ă  la fois de mettre en place un service social dans le dĂ©partement et de faire fonctionner un Bureau d’embarquement, sorte de mĂ©diation entre les marins, les ports et les armateurs employeurs. Les employeurs prĂ©fĂšrent passer par de tels bureaux plutĂŽt que de recruter des marins trainant sur le port. En effet, les marins de commerce circulaient d’un port Ă  un autre pour trouver des embarquements. Son activitĂ© de jeune assistante sociale l’amĂšne Ă  se dĂ©placer pour des tournĂ©es, elle parcourt les localitĂ©s maritimes en train, Ă  pieds, elle circule en Bretagne, cherchant Ă  Ă©tablir un dialogue et Ă  mettre en confiance les familles pour leur prĂ©senter le rĂŽle du Bureau. Elle se rend aussi Ă  Paris, cherchant Ă  rencontrer directeur ou prĂ©sident de la compagnie, mais doit se contenter d’entrevues avec le chef du personnel naviguant
 Lors d’une de ces visites, elle rencontre les dirigeants du Journal de la Marine marchande, et Ă©crit un article pour la revue on notera que c’est le premier article d’une femme dans cette revue. Elle doit essuyer diverses critiques de la part du syndicat professionnel des pĂȘcheurs de St Malo qui lui reproche de piĂ©tiner sur ses plates-bandes, une trop grande ambition et une forme de prĂ©tention Ă  vouloir dĂ©fendre, en tant qu’assistante sociale, le principe de la neutralitĂ©. Sa condition de femme, et de femme cĂ©libataire, jouent en sa dĂ©faveur. De son cotĂ©, elle analyse ces critiques comme un signe de l’importance de ce service social naissant et continue de rĂ©flĂ©chir sur ces questions d’éthique qui lui tiennent Ă  cƓur. Édith Battut est nommĂ©e directrice du service qu’elle promeut, refusant de limiter son action Ă  une seule Ɠuvre sociale ». DĂšs 1940, un budget est stabilisĂ©, avec des crĂ©ations de postes Ă  Marseille, Dinard, Arcachon, Saint Nazaire. Avec le soutien du PrĂ©sident de l’Union Sociale Maritime USM, le principe est Ă©tabli d’une cotisation systĂ©matique et Ă©quitablement rĂ©partie entre les armateurs pour financer le service, via la Caisse de compensation. L’USM devient chargĂ©e du service social auprĂšs du personnel naviguant qui compte 54 000 marins et 8000 sĂ©dentaires auquel s’ajoutent 55 000 retraitĂ©s, avec la crĂ©ation du service social pour la pĂȘche industrielle. En 1941, l’USM devient le service social inter-entreprise des compagnies de navigation et se structure pour s’adapter aux besoins de la guerre et s’adresse Ă  74 400 pĂȘcheurs, 20 480 venant de la pĂȘche industrielle. L’annĂ©e 1941 voit la crĂ©ation de 20 postes d’assistantes sociales dont des postes outre-mer Oran et Alger. À cette date on compte au total 33 postes d’assistantes sociales. Le service est organisĂ© en territoires, les assistantes sociales rĂ©gionales sont rĂ©unies trimestriellement Ă  Paris, quand une rĂ©union gĂ©nĂ©rale » regroupe annuellement l’ensemble des assistantes sociales. Pendant toute cette pĂ©riode de guerre, E. Battut travaille sur la mĂ©thodologie d’intervention accompagnement individualisĂ©, travail de prĂ©vention, service social collectif, Ă©ducation mĂ©nagĂšre des cours d’enseignement mĂ©nager sont organisĂ©s pour les femmes Ă  Marseille et Arcachon dĂšs 1941, mise en place de consultations de nourrissons, orientations vers les colonies de vacances, actions d’orientation professionnelle des enfants de marin, recherche d’emploi, crĂ©ation d’un foyer dans un bateau Ă  quai Ă  Marseille, ouverture de bibliothĂšques. Des liens sont créés avec d’autres organismes comme l’ADOSM association pour le dĂ©veloppement des Ɠuvres sociales de la marine, ou l’EAM Ă©coles d’apprentissage maritime. La fin de la guerre voit l’intensification de l’activitĂ© dans les ports bombardĂ©s, avec des Ă©vacuations de populations, l’accueil de rĂ©fugiĂ©s etc. En particulier on peut souligner l’achat du chĂąteau d’Amboise pour accueillir des enfants victimes des bombardements. AprĂšs 1945, le service retrouve un fonctionnement pour un temps de paix. A partir de 1947 des Ă©tudes sont menĂ©es oĂč les assistantes sociales sont sollicitĂ©es sur des thĂšmes tels que les rĂ©percussions du mĂ©tier de marin dans la vie familiale, en 1949 une Ă©tude sur l’enfant normal d’ñge scolaire dans la population maritime et en 1951 une Ă©tude sur le logement, ensuite publiĂ©e dans la revue Informations sociales CNAF. En 1948 le service compte 65 assistantes sociales dont 6 rĂ©gionales, plus 16 secrĂ©taires. Auquel s’ajoutent 7 centres d’enseignement mĂ©nager, 31 consultations de nourrissons, 4 colonies de vacances, 13 garderies centres aĂ©rĂ©s, l’organisation de 22 arbres de NoĂ«l, et 1 bibliothĂšque circulante Ă  bord des navires dans chaque port. L’USM est Ă  la fois un service social d’entreprises et un service social familial. L’USM se dĂ©clarera service polyvalent de catĂ©gorie en 1950 loi 4 aout 1950 sur la coordination des services. En 1948 les Bureaux de compensation créés par les armateurs disparaissent, remplacĂ©s par la Caisse Nationale d’Allocations Familiales des Marins du Commerce CNAFMC, relevant du rĂ©gime gĂ©nĂ©ral. Édith Battut y siĂšge en tant que personne qualifiĂ©e. Par convention, le service social de la CNAFMC est assurĂ© par l’USM. Ainsi une unitĂ© d’action dans la profession maritime est assurĂ©e pour les 13 332 allocataires et 25 946 enfants. Les annĂ©es 1958-1962 sont des annĂ©es de transition avec un accroissement des demandes des Compagnies ; l’activitĂ© des assistantes sociales auprĂšs des comitĂ©s d’entreprise se dĂ©veloppe et l’USM assure le service social de l’ENIM Établissement national des invalides des marins du commerce, c’est Ă  dire le rĂ©gime spĂ©cifique de protection sociale des marins. E. Battut porte une attention Ă  la formation des assistantes sociales qui sont formĂ©es au case-work. Mais le contexte Ă©volue et l’USM doit se repositionner la scolaritĂ© obligatoire Ă©tant passĂ©e Ă  16 ans, les centres d’enseignement mĂ©nager doivent se reconvertir et Ă©voluent en Centre d’économie sociale et familiale. C’est le dĂ©but de la formation des monitrices et la prĂ©paration Ă  l’entrĂ©e en formation d’auxiliaire de puĂ©riculture. Les consultations de nourrissons sont progressivement supprimĂ©es. Au contraire l’activitĂ© des colonies de vacances se dĂ©veloppe. Dans cette pĂ©riode, les premiĂšres liaisons sur le plan international s’installent et en fĂ©vrier 1959 E. Battut participe Ă  la ConfĂ©rence internationale sur la santĂ© et le bien-ĂȘtre des gens de mer Ă  Marseille. La pĂ©riode 1963-1967 voit de grandes mutations dans la marine marchande liĂ©es notamment Ă  la disparition de l’empire colonial, Ă  la concurrence de l’aviation, Ă  la fermeture du canal de Suez, ce qui se traduit par des inquiĂ©tudes dans la profession, accroissant l’activitĂ© du service social malgrĂ© la diminution du personnel naviguant. Les services d’action sociale collective doivent s’adapter Ă  ce monde en transformation. Des postes d’assistantes sociales sont créés quand d’autres sont supprimĂ©s comme Ă  Alger. Le service compte 71 assistantes sociales mais en 1975, il n’en comptera plus que 58. AprĂšs 1968, E. Battut constate un processus de dĂ©shumanisation du mĂ©tier de marin avec l’automatisation des navires, les fusions d’entreprises. De nouvelles problĂ©matiques apparaissent phĂ©nomĂšnes d’inadaptation, alcoolisme, maladies mentales. À partir de 1973, le partenariat se dĂ©veloppe et les rĂ©unions gĂ©nĂ©rales » rassemblements nationaux des assistantes sociales sont ouvertes des entreprises, administrations, syndicats, et reprĂ©sentants des usagers y sont invitĂ©s. En 1970, Édith Battut participe Ă  la ConfĂ©rence maritime du travail Ă  GenĂšve BIT, elle y reprĂ©sente le Conseil international de l’action sociale. Cette dĂ©cennie voit de nouvelles transformations des actions continuent de se dĂ©velopper et d’autres sont en rĂ©cession, ainsi de la diminution des colonies de vacances, la reconversion des centres mĂ©nagers, la suppression des consultations de nourrissons mais E. Battut impulse des dĂ©marches d’action collective, et tente un essai de service social communautaire. On note la crĂ©ation d’un centre social au Havre en 1973. C’est une Ăšre nouvelle surabondance des textes lĂ©gislatifs, complexitĂ© de leur application, augmentation des problĂšmes d’ordre psychologique dans la population. Toutefois, le service social de groupe destinĂ© aux femmes de marin se dĂ©veloppe et E. Battut participe Ă  la formation des futurs officiers aux relations humaines. Pendant sa retraite E. Battut suit les cours de l’Ecole du Louvre et de l’Institut catholique de Paris. ElevĂ©e au grade de Chevalier puis Officier de la LĂ©gion d’Honneur, elle dĂ©cĂšde en 2012 Ă  l’ñge de 99 ans, et est enterrĂ©e dans son village natal de Camburat. PUBLICATIONS Édith Battut, Marins des commerce », Pages sociales, n° 21, novembre 1946. SOURCE TĂ©moignage d’E. Battut ; Fonds Kniebiehler/ CEDIAS, Paris Nathalie Blanchard Please verify you are a human Access to this page has been denied because we believe you are using automation tools to browse the website. This may happen as a result of the following Javascript is disabled or blocked by an extension ad blockers for example Your browser does not support cookies Please make sure that Javascript and cookies are enabled on your browser and that you are not blocking them from loading. Reference ID c07ca4c3-1e6d-11ed-a61f-64626864454e

apolline est en train de naviguer sur le web