Pourfaire germer à cette saison il te faut un radiateur ou attendre le mois de juin ça va plus vite en été (même pas une semaine dans du coton mouillé en plein soleil en mettant de l'eau propre sur le coton tous les jours). Stephanie C 25/01/2010 à 10:30 0 0. Me voici repartie dans la plantation de noyaux de mangue. Unvieux et grand arbre de noix de pécan dans votre jardin est une merveilleuse ancre pour l'espace, une bonne source d'ombre et, bien sûr, un fournisseur abondant de noix de pécan savoureuses. Mais, si votre arbre est touché par la pourriture phytophthora des pacanes, une infection fongique, vous pourriez perdre toute la récolte. En savoir plus ici. Lintérêt de greffer un arbre est de lui donner des racines adaptées au terrain dans lequel il est planté. Par exemple si on sème un noyau d’abricot dans un terrain très humide, il attrape vite des maladies, alors que dans le même terrain, s’il est greffé sur prunier ou sur myrobolan ou sur pêcher, il vivra mieux. 11 août 2020 à 22h19 Répondre Lesplantation d'ambarella ont besoin d'un espacement minimum de 10 mètres. L'idéal est de respecter une distance de 15 m entre les arbres. Il est, notamment, recommandé d'enfouir du fumier bien décomposé dans les trous recevant les jeunes plants et, aussi, de préparer un système de tuteurage afin de bien les maintenir durant les Commentplanter le grenadier ? Pour les grenadiers en conteneur ou pot, creusez un trou pour la plantation 2 plus volumineux que la motte à enterrer. Faites un apport de compost ou fumier à la terre du jardin, placez le sujet au centre du trou et comblez avec le mélange de terre. Tassez bien au pied et formez une cuvette d’ arrosage. Facileà faire et très didactique avec des enfants, faites germer des noyaux d’avocat pour obtenir une belle plante à conserver à l’intérieur ou bien à exposer à l’extérieur dans les régions Plutôtque de mettre son pain rassis au compost, on peut en faire de la chapelure, du pain perdu Plantes malades. On les incorpore uniquement au centre du compost, là ça chauffe le plus, afin de détruire les pathogènes. Cendres de feu de bois. C'est un engrais minéral riche en potasse, phosphore, chaux et oligo-éléments. Il faut 4f5HfT. Matériel des graines de haricots du coton ou de l'essuie-tout une soucoupe un petit bocal du terreau spécial plantation un brumisateur L'installation des graines Avant de commencer l'expérience, faites tremper 2-3 graines de haricots dans de l'eau à température ambiante pendant au moins 1200 pour les ramollir. Technique 1 Mouillez le coton que vous déposez dans la soucoupe Déposez les 2-3 graines de haricot sur le coton en espaçant chaque graine Sur le dessus, placez un autre coton mouillé Disposez la soucoupe sur une source de chaleur comme un radiateur et dans une pièce lumineuse. Les haricots ont besoin d'une température supérieure à 18°C pour germer et de lumière pour donner des tiges vertes. Dans l'ombre, les tiges seraient blanches. Technique 2 Remplissez de terre un pot transparent et semez 2-3 graines de haricot, ce contenant vous permettra de découvrir les étapes de croissance des graines avec la transparence. Touchez régulièrement la surface de la terre avec votre doigt, si la terre est sèche, brumisez légèrement. Tous les jours, touchez le coton ou la terre pour juger de l'huidité. Il doit être continuellement humide mais attention, pas détrempé. Pulvérisez des goutelettes d'eau avec un brumisateur pour limiter les excès d'eau. De croissance rapide, vous devrez voir apparaître les premières petites feuilles seulement 2400 à 4800 après les avoir semées. En une semaine, une tige avec des feuilles va pousser photo du bas. Pensez à tourner régulièrement la soucoupe ou le pot car les jeunes pousses vont naturellement se diriger vers la lumière. Continuez à arroser régulièrement en laissant le coton sécher entre deux arrosages. L'excès d'eau peut faire pourrir la graines. Que faire des jeunes pousses germées ? Les repiquer rapidement dans un pot plus grand, en atendant d'être planté dans le potager. Ici, des jeunes plants de lentilles et de haricots fraîchement repiqués. Les enfants vont adorer regarder tous les jours l'évolution, de la graine à la jeune pousse. Pour déguster des avocats frais et bio au quotidien, il existe une solution planter des avocatiers chez soi. Facile à réaliser, cette culture nécessite simplement un noyau et quelques étapes à bien respecter pour réussir à faire pousser cet arbre. Entre la préparation du noyau, la mise en terre et l’entretien requis pendant sa croissance, tous nos conseils pour réussir à obtenir de nombreux avocats. Préparer le noyau d’avocat Pour commencer, couper l’avocat en deux avec un couteau en prenant soin de garder le noyau intact. Il faut ensuite extraire ce noyau et le préparer pour que, une fois planté, sa pousse soit optimale. Extraire le noyau de la pulpe ; Le nettoyer à l’eau chaude, sans détergent, et à la main pour retirer les éventuels restes de pulpe ; Se munir de 3 ou 4 cure-dents ; Les introduire à une profondeur de 5 mm environ dans le noyau, à mi-hauteur et à intervalles réguliers ; Garder le noyau pointe en haut. Pour avoir plus de chances de réussir la plantation, utiliser un avocat dur et ferme. Il est également possible de retirer la peau du noyau avant de l’immerger dans l’eau pour de meilleurs résultats. Réussir à faire germer le noyau d'avocat Pour faire germer le noyau, il faut Remplir d'eau un verre de taille moyenne en utilisant une eau à température ambiante ; Placer le noyau dans le verre de manière à immerger sa moitié inférieure, tout en maintenant la pointe à l’air libre. Les cure-dents doivent reposer sur le bord du verre ; Poser le verre à côté d’une fenêtre, pour qu'il soit exposé à la lumière, et dans une pièce chaude d'environ 20°C ; Contrôler régulièrement le niveau de l’eau afin de garder la partie inférieure du noyau immergée ; Renouveler l’eau une fois par semaine afin de prévenir l’apparition de moisissures. Après 2 à 6 semaines, des changements devraient s’opérer. En effet, la peau brune du noyau va se rider avant de se détacher complètement. C'est ensuite au tour du noyau de se fendre progressivement, dans la hauteur, pour laisser passer des racines. Un petit germe aérien va pousser et se transformer en bourgeon. Durant cette étape, il faut veiller à changer l'eau tous les deux jours pour limiter le risque d'apparition de moisissures. Lorsque les racines atteignent 10 cm, il est temps de mettre l’avocat dans la terre. De plus, pour que la plante soit plus vigoureuse, il est préférable de retirer la moitié des racines, notamment celles qui ont atteint 10 cm de longueur. Tous les noyaux ne germeront pas. Il est donc conseillé d'en cultiver plusieurs afin d'augmenter ses chances d'avoir un avocatier. Une autre méthode consiste à utiliser du terreau humide pour enterrer le noyau. Un arrosage régulier est nécessaire pour conserver son taux d’humidité jusqu’au développement des premières pousses. Malgré la facilité de réalisation, le résultat met souvent du temps à se concrétiser. Planter et mettre en terre l'avocat Pour planter l’avocat et le mettre en terre, il faut suivre les étapes suivantes Se munir d’un pot de bonne taille, soit environ 25 cm de diamètre. En effet, les racines d’un avocatier se développent rapidement. Déposer une couche drainante au fond du pot, en utilisant des billes d’argile ou du gravier. Y verser du terreau de manière à remplir le pot. Ajouter de l’humus, sol meuble et friable renfermant des éléments organiques. Ces derniers assurent un drainage rapide pour un meilleur développement des plantes. Prévoir un petit trou dans la terre pour y planter le noyau d’avocat. Une fois les cure-dents retirés, y introduire le noyau d’avocat tout en prenant soin de préserver les racines et en gardant la pointe à l’air libre. Placer le pot à la lumière, près d’une fenêtre. Privilégier un arrosage régulier sans être excessif. Il suffit que la terre reste humide. Aider l'avocatier à se développer Ces astuces consistent à s'assurer de la bonne croissance de son avocatier. En automne, le protéger des risques de gelées matinales en rentrant l'arbre à l’intérieur. Durant l’automne et l’hiver, limiter l'arrosage en s’assurant que la terre soit parfaitement sèche. À la fin du printemps, mettre la plante dans le jardin ou sur le balcon, au soleil, afin de lui permettre de bien se développer. Au printemps et à l’automne, notamment après la première année, nourrir la plante avec de l’engrais spécial plantes vertes. Après 2 à 3 ans, prévoir un pot plus grand pour rempoter la plante. Bien entretenir son avocatier L’entretien de cet arbre inclut le choix de l’aménagement, la fréquence d’arrosage, la taille ainsi que la récolte de la plante. Bien placer l'avocatier L’avocatier requiert un maximum de lumière pour une croissance optimale. En intérieur, le meilleur emplacement se trouve à proximité des fenêtres. Suivant les saisons, il est possible de le sortir à l’extérieur. Arroser l'avocatier L’arrosage doit se faire régulièrement et jamais à l’excès, surtout lorsque l’avocatier est encore frêle. La bonne fréquence est tous les 2 à 3 jours. Au fur et à mesure du développement, le besoin en eau diminue. Arroser uniquement une fois la terre sèche. En effet, une quantité importante en eau risque de jaunir les feuilles. À maturité complète, l’avocatier nécessite environ 70 à 80 litres d’eau par jour. Tailler l'avocatier Un jeune avocatier planté en extérieur ne requiert aucune taille, opération qui retarderait davantage son entrée en production. En revanche, une culture en pot nécessite un pincement au niveau de la tête, notamment à 30 cm de hauteur. Récolter et conserver les avocats Les avocats plantés en grand pot donnent des fruits à partir de la 8e ou de la 10e année de culture. Entre temps, ils constituent un bel élément décoratif de par leur feuillage persistant. Leur récolte se fait à la mi-saison, entre octobre et mai, selon les variétés. Tous les conseils pour avoir de bons avocats Pour espérer une bonne récolte, il est important de suivre quelques précautions avec son avocatier. S’assurer que la plante soit pollinisée par des insectes. La placer dans un jardin extérieur ou laisser la fenêtre entrouverte pour favoriser l’accès des abeilles. Des feuilles qui jaunissent annoncent un arrosage excessif. Ainsi, un temps de séchage de quelques jours est nécessaire avant la prochaine opération. Des feuilles qui brunissent avec un signe de brûlure aux extrémités révèlent un excès de sel dans la terre. Il convient à cet effet de noyer la plante avant d’égoutter la terre. Pour permettre le développement de nouvelles pousses, il est conseillé de couper la plante à sa moitié lorsqu’elle atteint 20 cm de haut. Pour un avocatier d’intérieur, placer le pot sur des graviers afin de favoriser le drainage de la terre. Afficher Masquer le sommaireLe matériel nécessaireLes étapes pour faire pousser un noyau d’avocatLa préparation du noyauFaire germer le noyau dans un verre d’eauPlanter l’avocatL’entretien de l’avocat en potFréquence d’arrosageOù placer son avocat pour une bonne germination ?Les maladies de l’avocatierLe plus simple pour cultiver un avocat est de le faire chez soi. En effet, l’avocat étant originaire du Mexique, il est sensible aux températures froides de l’hiver. Si vous avez une véranda ou un jardin d’hiver, vous pouvez le rentrer dès les premiers assauts hivernaux. Sinon, le faire pousser est relativement simple. Le matériel nécessaire Faire pousser un avocat est une opération simple et amusante que vous pouvez faire avec vos enfants qui suivront l’évolution de la plante. Il faut très peu de matériel Un verre d’eau, Des cure-dents ou des allumettes, Un couteau, Un pot en terre cuite, Du terreau, Un sachet de billes d’argile Les étapes pour faire pousser un noyau d’avocat © Aleksandra Duda Si vous mangez des avocats régulièrement, il est facile de récupérer un ou plusieurs noyaux. Cependant, il faut le préparer pour qu’il puisse germer. La préparation du noyau Coupez l’avocat en deux, en faisant très attention de ne pas toucher le noyau avec votre couteau Une fois que vous avez extrait le noyau, passez-le sous l’eau chaude pour le nettoyer, ne mettez aucun produit et faites-le sous un filet d’eau pour ne pas l’endommager. Vous devez juste enlever la pulpe restante sans toucher à la peau brune qui le recouvre. Notre conseil Généralement il est conseillé de bien le sécher, mais en fait à cette étape ça n’a aucune importance. Prenez trois ou quatre cure-dents ou des allumettes Maintenez le noyau, pointe en haut et mettez les cure-dents en les enfonçant de 5 mm environ, à mi-hauteur. Disposez-les à intervalles réguliers. Faire germer le noyau dans un verre d’eau Mettez de leau dans un verre pas trop large en le remplissant complètement Posez le noyau en équilibre il faut que la pointe soit à l’air libre, et la moitié inférieure, immergée dans le verre d’eau. Les cure-dents reposant au bord du verre le maintiennent. Si vous avez un morceau de charbon de bois ou une feuille de lierre, mettez-la au fond du verre. Ainsi l’eau reste claire, mais ce n’est pas obligatoire. Placez votre verre près d’une fenêtre à la lumière. Il faut que la pièce soit chaude, 20° est une bonne température. Vérifiez le niveau de l’eau régulièrement pour que la partie soit constamment immergée et rajoutez-en si nécessaire. Au bout de quelques semaines il faut être un peu patient, vous verrez apparaitre tour à tour Des rides sur la peau brune qui se détache peu à peu Le noyau qui commence à se fendre sur la longueur Une racine qui sort dans l’eau Un germe qui apparait sur la partie à l’air libre et qui donne naissance à un bourgeon. Après quelques jours, votre petit avocatier commencera à pousser sur le dessus c’est à ce moment que vous allez mettre en terre votre avocat. Planter l’avocat Préparez un pot assez grand, de 25 cm de diamètre au moins, l’avocatier a très vite de grosses racines. Mettez une couche de billes d’argile ou des graviers au fond du pot pour assurer le drainage. Remplissez-le de terreau. Creusez un petit trou et déposez délicatement le noyau afin de ne pas abimer les racines, une fois bien sûr que vous avez ôté les cure-dents. Vous ne devez enterrer que la partie inférieure du noyau, la partie supérieure restant à l’air libre. Tassez légèrement la terre dans le pot autour du noyau et arrosez. Placez le pot à la lumière. Arrosez-le régulièrement, mais sans excès, la terre reste humide, mais pas plus. Un avocatier trop arrosé se repère à ses feuilles qui jaunissent, s’il n’est pas assez arrosé, elles brunissent. © Jardiner Malin L’entretien de l’avocat en pot Il faut pincer la plantule. Sans intervention, la tige du jeune avocatier sera frêle et fragile et vous n’aurez pas ou peu de feuille au bout. Mais vous pouvez l’éviter grâce à quelques opérations Dès que la première paire de feuilles est bien développée, il est indispensable de pincer la tige au-dessus de ces feuilles vous sectionnez avec vos doigts la tige. Si vous ne voyez pas de ramification sortir, recommencez cette opération. À la fin du printemps, quand tout risque de gelée est écarté, mettez votre plante sur une terrasse ou un balcon ou même dans le jardin. En revanche en automne, il faut rentrer la plante avant qu’il ne gèle. Fréquence d’arrosage Arrosez votre avocatier régulièrement, mais en évitant les excès d’eau qui nuiraient à la plante. Durant l’automne et l’hiver, diminuez la fréquence des arrosages et surtout n’oubliez pas de laisser sécher la terre entre deux apports en eau. Au printemps et en automne, une fois la première année passée, ajoutez des apports en engrais spécial plantes vertes. Au bout de deux à trois ans environ, votre avocatier peut atteindre près de 2 mètres. Où placer son avocat pour une bonne germination ? © Pinterest Pour que votre noyau germe bien, il est indispensable qu’il soit placé dans une pièce chaude, 20° étant la température optimale et en pleine lumière. Pour cela, n’hésitez pas à le mettre sur le bord de votre fenêtre. Les maladies de l’avocatier © Elena Komozorova Les feuilles de l’avocatier sont susceptibles de noircir ou de brunir, souvent au niveau de leur pointe, elles en arrivent même à tomber, surtout quand il fait froid. Cela peut être dû à plusieurs causes Le manque d’eau ou un climat trop sec, mais dans ce cas seules les extrémités sont atteintes. Un choc thermique lors du passage de la maison à l’extérieur Les brûlures par le soleil ou le vent Les feuilles trop anciennes doivent se renouveler Les différentes maladies ou agressions L’anthracnose c’est un champignon qui se développe peu à peu, mais qui au départ provoque des taches brunes sur la pointe des feuilles. Il faut alors ôter les feuilles atteintes et le traiter avec un purin de prêles, d’orties ou de consoudre, deux fois par semaine en pulvérisation. La bouillie bordelaise est également efficace contre ce champignon. Le phytophthora cinnamomi est un champignon qui détruit l’arbre petit à petit. Il se développe quand la température est très élevée 27 à 30°C. ou quand l’air est très humide. On remarque l’atteinte parce que les feuilles jaunissent et flétrissent et qu’elles meurent tout en restant accrocher à la plante. Il faut alors la traiter avec un fongicide pour s’en débarrasser. Les araignées rouges ce sont des acariens qui apprécient beaucoup les cellules des feuilles de l’avocatier. De ce fait sa vitalité baisse. La piqûre de ces araignées donne une couleur gris plomb aux feuilles. Les feuilles peuvent tomber en cas d’attaque importante. Pour s’en débarrasser, rien de mieux que de les vaporiser avec de l’eau, elles la détestent. Les Sciarides ou moucherons ils se développent quand le terreau est humide et chaud. Il existe plusieurs manières pour s’en débarrasser ou limiter les invasions, voici quelques conseils Couvrez le terreau avec des cailloux, du sable, des morceaux d’ardoise, des pierres… cela vous permet de décorer votre pot. Versez quelques gouttes d’huile essentielle de menthe poivrée dans la terre ou sur un petit support posé dessus. Posez un tulle fin sur la terre ou à la base de votre pot pour étouffer et bloquer les moucherons. Placez à proximité un récipient avec de la confiture ou du miel avec de l’eau, ils sont attirés et se noient. Réduisez l’apport en eau un petit peu si la terre n’est pas trop sèche. À voir aussi dans Jardin » Ctendance > Jardin > Faire pousser un avocat comment faire ? Maintenant que le froid est installé, il est temps de penser à faire germer les noyaux des arbres fruitiers. Une méthode simple et efficace consiste à les sortir de leur sommeil en leur faisant subir le froid hivernal c'est la stratification ou le réveil de la dormance par le froid. La stratifi-quoi? Si certains noyaux sont protégés par une coque incassable, c'est pour qu'ils ne germent pas pendant la saison chaude, une fois la fructification passée. Cela évite aux jeunes pousses de se retrouver toutes nues, la tige à l'air, une fois que le froid est bien là. La nature a vraiment bien fait la chose ! Car ainsi protégés par leur coque, les noyaux attendent patiemment que l'hiver passe, le temps nécessaire à leur protection pour se désagréger. La germination a alors lieu dans les conditions adéquates du printemps naissant. Les graines et noyaux concernés par la stratification sont, de manière non exhaustive, les noyaux de pêche, de nectarine, de brugnon, d'abricot, de cerise, d'amande, de noix et noisette, de châtaigne sans la bogue !... Bref, toutes celles ayant une coque protectrice qui doit être ramollie avant germination. Comment faire ? La méthode la plus simple consiste à installer ces graines en strates dans un substrat de sable humide ou 50/50 terreau et sable. Dans un pot, mettre quelques graviers ou cailloux au fond pour le drainage, installer une couche de sable, disposer quelques noyaux sans qu'ils se touchent, puis une autre couche de sable 3 cm d'épaisseur suffisent, puis le reste des noyaux... Et ainsi de suite jusqu'à ce que tous les noyaux soient confortablement installés dans leur nid douillet... Le pot doit être ensuite disposé près d'un mur au nord. Pour s'assurer du succès de la stratification, il faut veiller à ce que le sable ne soit ni trop sec ni trop humide. Une couche de paille protectrice peut donc être envisagée sur le dessus. Un petit grillage sur le haut du pot peut également être nécessaire, pour éviter que des rongeurs affamés ne viennent retourner le substrat à la recherche de précieuses victuailles. Ainsi disposés, les noyaux ne gèleront pas, mais seront ramollis au fil du temps par l'humidité du sable et le froid. Quand les graines sont-elles prêtes ? Dès février/mars, il faut commencer à surveiller la germination des noyaux en reversant délicatement le pot à la recherche des graines réveillées ». Il est fréquent que les graines du fond soient à un stade de germination plus avancé, étant donné que les conditions "climatiques" ne sont pas les mêmes qu'en surface. Il arrive aussi que des graines d'une même famille ne germent pas toutes en mêmes temps. Si lors de cette première récolte, il reste des noyaux non germés, il faut les remettre en place et recommencer l'opération de la chasse au trésor en mars/avril puis avril/mai... Il est alors temps d'installer les graines germées directement en terre dans un sol adapté à leurs besoins, ou bien dans des godets en attendant que les jeunes pousses s'enracinent. Quoi qu'il en soit, il est tout à fait normal qu'une partie des graines ne se réveillent pas la première année, car certaines sont connues pour ne germer qu'au bout de 2/3 ans. Mais en général, les graines et noyaux ont besoin d'une période de deux à quatre mois pour sortir de leur dormance. Lors de l'exhumation » des graines, il peut être observé un phénomène de pourrissement qui est dû à un trop-plein d'humidité ou à un substrat en mauvaise santé, déjà contaminé. Il faut alors recommencer l'expérience en surveillant plus attentivement le pot... Au frigo ! Si aucun mur orienté Nord n'est à disposition, on peut aussi tenter l'expérience dans son réfrigérateur ! La même méthode est alors utilisée, mais cette fois dans un sac plastique ou une boîte hermétique qu'il faudra surveiller et aérer régulièrement pour vérifier un éventuel manque d'oxygène. Placés dans le bas du réfrigérateur, il faudra attendre 3 à 4 mois avant de pouvoir planter en terre les noyaux germés. Riche en polyphénols, lupéol et vitamine C, la mangue est un fruit tropical particulièrement bénéfique pour votre santé. Et cette drupe est très délicieuse aussi ! À consommer directement ou à inclure dans un dessert comme la tarte tatin, à enrichir une salade d’été ou une sangria maison, à alléger une délicatesse comme le foie gras … Il s’avère que ce fruit charnu, sucré et succulent est l’un des ingrédients les plus polyvalents en cuisine contemporaine. Dans certains pays, on l’appelle même le roi des fruits » ! Saviez-vous que vous pouvez faire pousser et cultiver votre propre manguier en pot ? Alors, comment planter un noyau de mangue dans les règles de l’art ? Si l’on peut faire pousser un citronnier à partir de pépins ou cultiver des tomates cerises en pot, on peut certainement faire la même chose avec le noyau de la mangue, n’est-ce pas ? Pour ce faire, vous aurez besoin des matériaux suivants un noyau de mangue ou plusieurs comme assurance, une tasse d’eau, des ciseaux de cuisine, quelques serviettes en papier, un sac en plastique à fermeture Éclair, du terreau et un pot de taille moyenne. Tout récipient d’environ 20 cm de profondeur et entre 2 et 4 litres de volume total fera l’affaire pourvu qu’il ait des trous de drainage. Le matériel étant assuré, on peut finalement dévoiler comment planter un noyau de mangue ! Ou presque … Avant la plantation-même, il faut faire germer le noyau dans l’eau. Faire germer un noyau de mangue dans l’eau Avant de découvrir comment planter un noyau de mangue, il faut premièrement savoir comment le faire germer. Dans ce but, on doit le placer dans l’eau mais juste après avoir libéré le pépin de son enveloppe dure qui empêche normalement ce processus. En bref, il faut premièrement le décortiquer. Alors, coupez le fruit en deux et retirez le plus de la chair que possible à consommer plus tard. Nettoyez les résidus enveloppant le noyau et, à l’aide des ciseaux, coupez soigneusement l’un de ses bouts pointus. Le noyau sera probablement glissant, donc procédez avec beaucoup de prudence. Couper un coin de cette manière vous permettra d’ouvrir la couche dure avec vos doigts et de retirer la vraie graine qui se trouve à son intérieur. Parfois, elle aussi peut être enveloppée d’une peau fine comme c’est le cas illustré ci-haut, alors supprimez-la avant de passer à l’étape suivante. Quelques astuces pour accélérer la germination Faites tremper la semence dans une tasse d’eau à température ambiante pendant 24 heures environ. Ensuite, humidifiez une serviette en papier. Vous pouvez également utiliser une feuille de papier essuie-tout, un morceau de coton, etc. Assurez-vous que la serviette soit uniformément humide, mais pas détrempée et enveloppez-y la graine. Placez le paquet ainsi obtenu dans un sac en plastique à fermeture Éclair et gardez-le dans un endroit chaud. Surveillez la progression de la graine tous les quelques jours, en guettant le moment d’apparition des premiers germes. Le temps de germination dépendra de la température de l’air et de la maturité de la mangue au moment de l’extraction de la semence. À propos, vous pouvez tout aussi bien planter le pépin décortiqué directement dans du terreau humide, c’est-à-dire sans les préparatifs mentionnés. Toutefois, cela implique d’attendre pendant plusieurs semaines pour voir si la croissance se produira. Par contre, la méthode décrite ci-haut révèle quelles graines sont bonnes pour que nous ne perdions pas de temps avec les ratés. Comment planter un noyau de mangue qui a germé ? Apparemment, planter un noyau de mangue en pot ne se fait pas directement, mais il faut d’abord le décortiquer et le tremper pour que la graine à son intérieur puisse commencer son développement. Alors, comment planter un noyau de mangue qui a germé ? Eh bien, premièrement vous devez attendre jusqu’à ce que la pousse soit au moins 5 cm de long. Normalement, on distingue deux pousses indépendantes partant de la graine. L’une se transformera en racines et l’autre en tige, feuilles et ainsi de suite. Cependant, il est parfois difficile de distinguer les deux à ce stade, alors placez la graine à plat dans le pot comme le montre l’image présentée ci-dessus. C’est la plante-même qui trouvera la bonne orientation dans le processus de croissance. Une fois le germe grandi entre 5 et 8 cm, vous pouvez tranquillement le transférer dans le terreau. À cette fin, remplissez le pot de terreau universel ou de semis en laissant à peu près 5 cm sous le rebord. Arrosez abondamment le terreau, laissez-le reposer, complétez-le jusqu’au même niveau si nécessaire et placez la graine germée au-dessus. Couvrez le jeune germe de deux à trois cm de terreau et arrosez. Enfin, vous devez vous retrouver avec environ 2-3 cm d’espace entre le dessus du terreau et le rebord du pot pour un arrosage facile sans débordement. Voilà ! Maintenant vous savez comment planter un noyau de mangue comme il se doit !

comment faire germer un noyau de kaki